Catégorie : Non classé

Fibre et ADSL : Orange accusé de mettre “à mort” la filière, des sous-traitants refusent d’être sous-payés

L’opérateur historique a revu les prix de maintenance et de raccordement pour ses réseaux fixes et plusieurs sous-traitants protestent, jugeant que la filière est menacée.

Des prix trop bas pour le déploiement de la fibre ou l’entretien du réseau cuivre. L’opérateur historique a proposé un nouveau contrat baptisé RC Centric, regroupant la maintenance des réseaux et le raccordement des abonnés, à ses sous-traitants, opérationnel depuis le 1er avril. Face à une baisse de prix “drastique, de l’ordre des 10%“, plusieurs entreprises (TP-MG-Energie, France réseaux, Fiber Fibre ou Constel, DLF Réseaux et SARL Jalouzot) se sont regroupées au sein d’une même association nommée France Sous-Traitance.

Il est urgent d’agir et de s’unir” affirme l’association. Elle rappelle notamment la situation complexe dans laquelle se trouve l’un des partenaires historique d’Orange, Scopelec, ayant perdu près de 60% de ses contrats avec l’opérateur et se retrouvant placé en procédure de sauvegarde. “Nous comme eux nous subissons la réponse à l’appel d’offres comme un coup de massue et nous oblige à travailler pour des majors à prix réduits” assène France Sous-Traitance.

Pour ces entreprises, inconnues du grand public, leur « filière, nos emplois en proximité sont mis en danger avec des prix toujours plus bas, des objectifs de qualité, de sécurité toujours plus haut, des délais de paiement très longs et des mécanismes de pénalités sur les contrats qui appauvrissent nos entreprises, fusille-t-elle. Nous ne voulons plus subir. Nous ne pouvons pas accepter la mise à mort de notre profession. » Il s’agit de fait de sous-traitants travaillant déjà pour d’autres entreprises engagées par Orange et elles n’ont donc pas vraiment de contact avec l’opérateur historique. Ce regroupement vise justement à faire pression sur lui et si “le blocage n’est pas à l’ordre du jour”, des mesures sont envisagées.

Les contraintes imposées en plus des prix plus bas ne sont pas là pour calmer les choses. Les sous-traitants dénoncent notamment des pénalités trop élevées, allant de 400€ pour un manquement à une convocation à 3000€ si une “non-conformité environnementale est constatée” sur des chantiers. Alors que la sous-traitance plaide pour sa survie économique, de nombreux témoignages de malfaçons émergent depuis plusieurs mois. Le chantier de la fibre semble bien loin d’être un long fleuve tranquille.

Source :via La Tribune

 

 

 

 

Classés sous les catégories : Non classé

Free ne s’arrête plus et lance ses offres fibre petit à petit sur trois réseaux opérés par SFR

Les réseaux de Eure-Et-Loir THD, Isère THD et Wigard Fibre commencent à accueillir par endroit les offres fibre de Free. Tous sont exploités par Xp Fibre de SFR.

Son objectif de lancer ses offres fibre sur 25 nouveaux réseaux d’initiative publique en 2022 en complément de la quarantaine sur lesquels il est déjà présent, semble aujourd’hui plus que réalisable. Aux abonnés absents sur les réseaux opérés par SFR (Xp Fibre) il y a encore quelques semaines, Free commence à rendre des adresses éligibles à un abonnement Freebox en fibre optique dans plusieurs RIP de l’opérateur d’infrastructure.

Après la Sema@fibre77 et Essonne Numérique,  Hérault Numérique. et Oise Numérique, c’est au tour de trois nouveaux réseaux de s’ajouter à la liste. De premiers foyers dans plusieurs communes (Luray, Vernouillet) desservies par Eure-Et-Loir THD sont à présent éligibles, rapporte Busyspider. Destiné à couvrir l’ensemble des besoin des habitants et entreprises en matière de très haut-débit, le projet concerne aussi bien la desserte d’une trentaine de zones d’activités, que la fourniture de liaisons très haut débit dans près de 100 000 logements, sur 170 communes. Pour l’heure, il ne s’agit que de pré-ouvertures chez l’opérateur, il faudra attendre une officialisation pour savoir le nombre de foyers éligibles à date.

Le réseau d’initiative publique Isère THD commence également à accueillir les offres fibre de Free. Selon plusieurs remontées et le test d’éligibilité de Free, des adresses dans les communes de Charvieu-Chavagneux, Tignieu-Jameyzieu, Satolas et Bonce, Pontcharra, ou encore Moirans sont déjà raccordables à la fibre. Cette délégation de service public été attribuée à Isère Fibre, filiale de SFR FTTH fin avril 2016. Pas moins de 57% des foyers, soit près de 386 000 et 55% des entreprises de + de 5 salariés (600) seront desservis à terme par ce réseau.

 

 

Jamais deux sans trois, puisque Free ouvre aussi les vannes  (pré-ouvertures) sur le réseau de sur le RIP Wigard Fibre, dans le département du Gard (Aimargues). Après avoir signé une convention en septembre 2018 pour la construction et l’exploitation du réseau, SFR FTTH devenu Xp Fibre est aujourd’hui à pied d’oeuvre pour atteindre son objectif : couverture fibre à 100% du département d’ici 2022, soit 257 000 prises réparties dans 305 communes. Le projet est d’envergure puisqu’il vise la mise en place de 49 Noeuds de raccordement et 10 000 Kms d’artères fibre optique. Pour connaître son éligibilité aux offres fibre de Free, il suffit de se rendrre sur le site de l’opérateur, et d’effectuer un test à votre adresse. L’opérateur permet aussi de saisir ses coordonnées, afin d’être prévenu de son arrivée par courriel.

 

Source : Busyspider 

Classés sous les catégories : Non classé

Quand les collectivités ne sont pas pressées de voir les Français passer à la fibre

Dans les collectivités, deux sons de cloches résonnent : certains veulent le déploiement rapide de la fibre mais d’autres, moins bien lotis, s’inquiètent des potentielles conséquences du retrait du cuivre.

Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Alors que le déploiement de la fibre bat son plein et  que des expérimentations sont menées sur le démantèlement du réseau cuivre historique, les collectivités locales sont assez divisées sur la marche à suivre. D’un côté, les départements ayant investis leurs moyens dans le déploiement du réseau au sein des réseaux d’initiative publique (RIP) souhaitent le rentabiliser rapidement, mais pour les collectivités étant moins fibrées, certaines questions se posent sur l’arrêt du réseau permettant l’accès à la téléphonie et l’ADSL.

Si l’Avicca, association regroupant 230 collectivités engagées sur le numérique, a déjà exprimé son soutien au plan d’Orange concernant la fin du cuivre d’ici à 2030, certaines problématiques font avancer à reculons certains élus. Ils craignent en effet une migration forcée de leurs administrés vers une fibre plus chère et qui pourrait s’avérer moins stable que leur réseau ADSL actuel. Une crainte se basant notamment sur la multiplication de témoignages concernant les raccordements mal effectués et les problématiques de malfaçons dans le secteur : l’image de la fibre s’est retrouvée assez entachée.

De plus, la question du service universel se pose toujours, puisqu’aucun successeur n’a été pour l’instant clairement indiqué par l’État. Dans les collectivités comptant des personnes âgées ou en situation de précarité, l’inquiétude est toujours la même : que ces personnes se retrouvent sans option alternative.

Même du côté des entreprises, une fermeture trop rapide du cuivre pourrait poser problème. Ariel Turpin, directeur général de l’Avicca affirme que “Le plan a été pensé pour le grand public. Nous sommes inquiets de l’absence d’offre alternative destinée aux professionnels sur la fibre”. Il s’agit pourtant du marché où un rétablissement de service très rapide semble le plus important et en dehors d’offres très spécifiques, une garantie de rétablissement en quelques heures n’est pas souvent proposée par les opérateurs.

Ainsi, malgré son soutien au plan d’Orange, l’Avicca prône la patience et non la précipitation. Elle invite à observer les expérimentations menées par Orange, mais propose également que l’extinction du réseau historique ne soit réalisée que si les quatre opérateurs sont présents dans un même immeuble, et non à l’échelle de la commune, comme c’est prévu aujourd’hui par l’opérateur historique.

Source : Les Echos

Classés sous les catégories : Non classé

Fibre : le ras-le-bol des collectivités, Orange, Free, SFR et Bouygues doivent mettre fin à la “multiplication” des dégradations

A l’heure où la situation empire par endroit, les problèmes de raccordement rencontrés par les foyers en France sont actuellement plus que jamais dans le viseur de l’Arcep mais aussi de l’Avicca. Aujourd’hui, 26 collectivités fulminent. Les opérateurs doivent selon elles agir vite en respectant les contrats et en mettant en oeuvre deux nouvelles actions.

Mauvais raccordements, interventions faites à la va-vite, sous-traitance exacerbée… Autant de sujets dont Laure de La  Raudière, présidente du régulateur entend trop souvent parler depuis plusieurs mois maintenant. Les Français et collectivités concernées l’interpellent régulièrement  et ce, à juste titre parce qu’il n’est pas acceptable d’avoir des défauts de qualité des pratiques des opérateurs tels qu’on les rencontre aujourd’hui” a-t-elle martelé la semaine dernière.

Il est aujourd’hui urgent de régler ces problèmes : “je ne supporte plus d’entendre dire que c’est lié au fort déploiement et au fort raccordement. Dites ça aux personnes interrompues plusieurs fois par an, pendant plusieurs semaines…”, a-t-elle même enchéri.

Après être montée récemment au créneau sur l’ubérisation intensifiée de la filière et l’impossibilité pour les entreprises du secteur de réaliser “la moindre marge en effectuant les travaux de raccordement à la fois dans les règles de l’art et en respectant les règles de sécurité”, l’Avicca, l’association qui regroupe les collectivités engagées dans le numérique, revient aujourd’hui à la charge. Pas moins de 26 collectivités membres annonce faire font front commun dans un communiqué afin de pousser les opérateurs à réagir.

Leur ras-le-bol concerne “une multiplication des dégradations” en matière de raccordements d’abonnés sur les réseaux nouvellement construits dans les zones moins denses, et notamment celles où ils pilotent le déploiement de ces infrastructures.

« Cette situation, sur laquelle nous alertons une nouvelle fois les pouvoirs publics, est principalement liée au mode de réalisation du raccordement final imposé Bouygues Télécom, Free, Orange et SFR : le « mode STOC ».
En effet, ces fournisseurs d’accès Internet assurent le raccordement de leurs abonnés en réalisant eux-mêmes l’ensemble des opérations techniques. En réalité, elles sont intégralement sous-traitées sans contrôle, mal rémunérées et pour certaines réalisées en dépit des règles de l’art et de la sécurité des personnes »
, déplorent-elles.

Pourtant, un nouveau contrat national (contrat STOC V2) a été signé entre les opérateurs au début de l’année 2021 pour mieux encadrer ces pratiques. « Un an après, nous sommes forcées de constater que la situation ne s’améliore pas sur nos réseaux . En moyenne sur les six derniers mois, 85% des comptes-rendus d’intervention transmis à l’issue de chaque raccordement ne sont pas exploitables », affirment les collectivités. Et ce n’est pas tout, leurs réseaux sont encore quotidiennement dégradés, « portes d’armoires techniques forcées ou arrachées, boitiers de raccordement laissés ouverts sous la pluie, clients déconnectés, malfaçons chez les abonnés ». En bref, c’est la consternation, le plan d’action de l’Arcep n’est selon elles pas respecté, « les remises en état ne sont pas faites par les opérateurs, les contrôles terrain sont impossibles faute d’une communication des plannings d’intervention  des sous-traitants ».

Les opérateurs appelés à respecter les contrats de toute urgence, et à mettre en place deux nouvelles mesures

Dans ce contexte, les 26 collectivités dont figurent de nombreux réseaux d’initiative publique comme Anjou Numérique, ADSN, Charente numérique, Essone Numérique la Fibre 64 ou encore la région Grand Est et le département de la Seine-Saint-Denis, demandent aux opérateursde respecter les contrats existants et de mettre en œuvre deux actions complémentaires indispensables à la bonne réalisation des raccordements abonnés”. La première consiste à “fournir les plannings d’intervention des sous-traitants afin d’être en capacité réelle de s’assurer du respect des règles de sécurité appliquées par les intervenants en charge du raccordement et de maitriser les délais de raccordement.” Et la seconde, de “conditionner le paiement à l’opérateur de la prestation de raccordement à la transmission d’un compte-rendu d’intervention complet et exploitable, garantissant le contrôle de la conformité du raccordement.”

Si les opérateurs n’obtempèrent pas sur ces deux points, « nous nous réservons le droit de prendre toute mesure à même d’améliorer fortement et durablement notre capacité à préserver l’intégrité du bien commun que constituent les nouveaux réseaux fibre optique de nos territoires. » Le message est passé.

Classés sous les catégories : Non classé

Présidentielle : cybersécurité, formation, souveraineté… découvrez en vidéo les propositions d’Emmanuel Macron pour le numérique

Alors que la campagne présidentielle bat son plein, plusieurs candidats sont venus répondre aux questions d’Infranum, fédération constituée de plus de 200 entreprises allant des fabricants de câble en passant par les équipementiers jusqu’aux opérateurs. Univers Freebox vous propose cette semaine de découvrir le programme des candidats autour du numérique, avec pour commencer l’intervention d’Eric Bothorel, représentant Emmanuel Macron.

Quel avenir pour le numérique en France ? C’est la question à laquelle sont venus répondre plusieurs candidats à l’élection présidentielle de 2022 ou leurs représentants, auprès d’Infranum. La fédération avait dressé une liste de trente propositions “pour une France connectée et durable” et organisé le 23 mars dernier un évènement “Regards croisés avec les candidats” pour recueillir leurs projets. Aujourd’hui, Univers Freebox vous propose de découvrir les propositions du candidat Emmanuel Macron, expliquées par Eric Bothorel, député La République en marche des Côtes d’Armor, à cette occasion.

Le député aura ainsi l’occasion de rappeler le bilan du président sortant concernant le déploiement des réseaux, notamment le plan 100% fibre en 2025 et 97% du territoire couvert en 4G et l’avancée du New Deal. Il explique également l’importance de la formation dans le secteur du numérique, notamment du point de vue du codage et via une réforme de l’enseignement professionnel, avec une volonté de former 400 000 ingénieurs supplémentaires durant le prochain quinquennat. Plus ancré dans les réseaux, la technologie Open RAN est également considérée comme un enjeu important pour l’avenir. La question de la cybersécurité, avec la hausse des attaques depuis quelques années, est également abordée ainsi que la souveraineté européenne et la résilience.

 

Classés sous les catégories : Non classé

Fibre : Orange attaqué en justice par son sous-traitant Scopelec

Après avoir tenté les négociations et l’appel à l’État, le sous-traitant d’Orange décide de passer à l’offensive devant le tribunal.

Face aux risques de perdre 40% de son chiffre d’affaires, Scopelec a déposé le 23 mars une assignation en référé à l’encontre de l’opérateur historique pour “rupture brutale de la relation commerciale”. L’affaire remonte à la fin de l’année dernière, où ce partenaire historique d’Orange a appris que 65% de ses contrats de sous-traitance avec Orange ne seraient pas renouvelés le 31 mars prochain. L’opérateur expliquait alors avoir pris cette décision suite à plusieurs mises en demeure concernant la qualité des interventions, mais pour Scopelec et ses salariés, le délai d’adaptation est trop court.

Cette assignation a pour objectif de faire respecter nos droits à un préavis utile et nos droits à un accompagnement, y compris financier, face aux préjudices subis” affirme le président du directoire de Scopelec, Thomas Foppiani. “Il est normal qu’Orange assume ses responsabilités et indemnise ses manquements“, poursuit-il, arguant que “personne ne peut supporter de perdre 40% de son chiffre d’affaires du jour au lendemain.” Le groupe a d’aileurs été récemment placé en procédure de sauvegarde, en affirmant que plus de 1000 emplois étaient menacés.

L’opérateur historique pour sa part conteste l’assignation, expliquant avoir “respecté l’ensemble des délais“.”Les attributaires du contrat en vigueur jusqu’au 31 mars 2022 ont été prévenus dès 2018 du terme de ce marché et du lancement d’un nouvel appel d’offres. Cela leur a été formellement notifié en avril 2020, soit 23 mois avant le terme, avec un préavis supérieur aux usages” ajoute-t-il.

Source : AFP

 

Classés sous les catégories : Non classé

Fibre : quand Orange s’arme de patience pour éradiquer un plat de nouilles et remettre de l’ordre dans le réseau

Encore trop nombreuses, les armoires de rues dégradées sont petit à petit remises en conformité par les opérateurs. Des interventions minutieuses et fastidieuses expliquées par Orange en vidéo.

C’est l’une des grandes recommandations de l’Arcep dans son plan d’action présenté en novembre 2021 pour améliorer la qualité des réseaux FTTH et éradiquer les “plats de nouilles”, ces câbles emmêlés dans les armoire de rue, mais aussi les débranchements d’abonnés au moment d’en raccorder d’autres. A l’heure où de nombreux équipements comme des armoires de rue sont dégradés privant parfois les abonnés de connexion internet pendant plusieurs semaines, “il importe également que les opérateurs procèdent à la remise en état de toutes leurs infrastructures dégradées ou faisant l’objet de malfaçons importantes qui impactent le bon fonctionnement des lignes”, a incité le régulateur, suivant de près la réalisation de travaux complémentaires identifiés.

Aujourd’hui, les techniciens des opérateurs dont Orange sont à pied d’oeuvre pour mettre en conformité les PMZ dégradés bien souvent par des sous-traitants peu scrupuleux. Dans cette armoire de rue en Isère, “les branchements ont été repris un par un”, explique l’opérateur historique.

Dans ces plats de nouilles, il s’agit tout d’abord d’évacuer les câbles inutiles, avant la mise en oeuvre d’un brassage en M, soit un croisement des fils facilitant l’accès pour le branchement de nouvelles connexions. «  Nos clients et les autres opérateurs sont informés de la coupure de quelques secondes, juste le temps de débrancher le fil pour le démêler », précise Orange. Il faut donc redoubler de patience lors des interventions et espérer le maintien de l’ordre dans ces équipements à l’avenir.

Cela passera par une parfaite mise en application du nouveau mode STOC visant à améliorer la sécurité et la qualité des interventions, renforcer la transparence et enfin rééquilibrer les coûts de maintenance. Celui-ci induit un accompagnement systématique par l’opérateur d’infrastructure de tout nouvel intervenant sur le réseau, mais aussi la réalisation d’audits communs et des sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion d’un sous-traitant. Seulement, certains prestataires ont vite compris comment contourner ces contrats : “horodatage truqué, photos d’installations différentes de celles réalisées, endommagement volontaire des équipements avant la prise de photos pour se dédouaner de la suite…”, a dénoncé récemment l’Avicca. Une solution devrait toutefois permettre d’améliorer progressivement une partie des problèmes rencontrés, à savoir l’introduction d’outils d’intelligence artificielle d’analyse des photos remontées.

 

 

Classés sous les catégories : Non classé

55% des abonnés Freebox sont désormais connectés en fibre

Il y a désormais davantage d’abonnés fibre qu’ADSL chez Free.

Les abonnés fibre de Free sont désormais nettement majoritaires chez l’opérateur. En effet, ce dernier a annoncé mardi que désormais près de 55% bénéficiaient d’une connexion en fibre optique, contre

Il faut dire que Free a encore beaucoup recruté sur ce segment en 2021 avec 970 000 nouveaux abonnés (migrations comprises) pour atteindre un total de 3,77 millions d’abonnés fibre. Un chiffre qui devrait continuer à croitre d’autant durant cette année 2022 puisque Free reste sur un rythme trimestriel d’un peu moins de 250 nouveaux abonnés.

Classés sous les catégories : Non classé

Les offres fibre de Free désormais accessibles à 25,5 millions de foyers dans 14 200 communes

Compétitif et solide, Free réussit à mettre en oeuvre sans accroc son plan Odyssée 2024. Ses offres fibre peuvent désormais équiper 25,5 millions de foyers sur le territoire.

Deuxième recruteur sur le segment de la fibre en 2021 derrière Orange, Free a engrangé 970 000 nouveaux abonnés FTTH, de quoi faire grimper son taux d’adoption à 54,5%. Une performance rendue possible par l’attractivité de ses Freebox, des prix compétitifs, mais aussi le déploiement continu de la fibre, dans les villes et zones rurales. Lors de la présentation de ses résultats annuels le mardi 22 mars, l’opérateur a ainsi fait le point sur sa présence dans les territoires: “le nombre de prises raccordables a augmenté de 5,6 millions sur 12 mois, à 25,5 millions de prises à fin décembre 2021”. Autrement dit, plus des deux tiers des foyers français ont aujourd’hui la possibilité de s’abonner à une offre fibre Freebox Pop, Delta, Révolution ou mini 4K.

Les offres commerciales du FAI en FTTH sont désormais disponibles sur près de 14 200 communes contre 8 200 communes à fin 2020. Au quatrième trimestre 2021, le parc d’abonnés fibre de l’opérateur a progressé de 35 % sur 12 mois, pour atteindre 3,8 millions abonnés. Aujourd’hui, c sont pas moins de 21,4% des Français connectés à la fibre dans l’Hexagone, qui ont souscrit un abonnement chez Free. “Cette progression constante du taux d’adoption de la fibre s’explique par une appétence croissante des foyers français pour la technologie FTTH et l’ouverture régulière de la commercialisation des offres de Free sur de
nouvelles zones en dehors des Zones Très Denses”, explique le FAI  qui ne cesse consolider son positionnement de 1er opérateur alternatif  sur le marché.

[affiliation]pop[/affiliation]

Au total, 29,7 millions de locaux (70%) ont été rendus éligibles au 31 décembre en France métropolitaine selon l’Arcep. Les offres Free sont donc aujourd’hui accessible à plus de 86% d’entre eux. Manque encore à l’appel de nombreux réseaux avec lesquels l’opérateur n’a pas signé. Son objectif est de lancer ses offres FTTH sur 25 nouveaux RIP en 2022.

 

 

Classés sous les catégories : Non classé

Les offres fibre de Free commencent à être disponibles sur deux nouveaux RIP opérés par Orange

De premiers abonnés Freebox sont désormais éligibles à la fibre sur les réseaux d’initiative publique de Gironde Haut Méga et Loire-Atlantique Numérique.

A l’heure où la démocratisation de la fibre s’intensifie chez Free, l’opérateur poursuit sa stratégie de déploiement de ses offres sur tout le territoire. En 2022, il prévoit de mettre les bouchées doubles avec l’objectif de débarquer sur près de 25 nouveaux réseaux dans toutes les régions.

Pour l’heure, si l’opérateur n’a officialisé aucun lancement depuis le début de l’année, de premières adresses Freebox sont à présents éligibles sur deux réseaux d’initiative publique. Le premier est d’envergure puisqu’il s’agit du RIP Gironde Haut Méga, en atteste diverses remontées d’abonnés et le test d’éligibilité officiel de Free. De nombreuses communes sont concernées  comme Saint Germain du Puch, Arveyres, Tresses, Pompignac, Saint Sulpice, et Cameyrac, rapporte Busyspider. Opéré par Orange, ce réseau a pour objectif de raccorder d’ici 2025  485 500 foyers, entreprises, services publics et collectivités. La moitié est d’ores et déjà raccordable. A noter que le déploiement commune par commune est progressif et dépend de la stratégie commerciale de chaque opérateur. Pour sa part, Free a trouvé un accord durant l’été après une longue période de négociations.

Dans le temps, un autre réseau d’initiative publique opéré par Orange Concessions, commence à accueillir les offres fibre de Free. Il s’agit de Loire Atlantique Numérique. Des foyers recensés dans les communes d’Heric, Orvault, Nort sur Erdre ou encore Grandchamps-des-Fontaines, peuvent à présent souscrire à une Freebox en fibre optique. D’ici 2025, 300 000 locaux du département situées en dehors des agglomérations de Nantes, de Saint-Nazaire et de la presqu’île guérandaise, seront raccordés au FTTH. Aujourd’hui, Free est présent sur plus de 40 RIP.

 

Source : Busyspider,

 

 

 

Classés sous les catégories : Non classé