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Reportage Univers Freebox : quid du rangement de la fibre optique lors d’une installation ?

 

Suite de nos vidéos tournées dans le cadre de nos reportages consacrés à la fibre optique. Dans celle-ci, un formateur nous présente la cassette de lovage, celle qui sert à ranger le surplus de câble lors d’une installation fibre optique.

Dernièrement, nous vous présentions un reportage tourné sur un plateau de formation de la CCI inauguré il y a quelques années en Lorraine. Au cours de celui-ci, Fabrice Constantin, l’un des formateurs, nous avait fait la démonstration d’une soudure fibre optique et montré comment réaliser une mesure de perte du signal à l’aide d’un photomètre, mais également expliqué l’utilité des cassettes de lovage.

La cassette de lovage sert à ranger le surplus de câble nécessaire à la soudure de la fibre optique. Ce surplus de câble est rangé à l’aide de boucles qui sont ensuite maintenues grâce des languettes en plastique. Un cache permet enfin de refermer la cassette de lovage et de mettre le câblage à l’abri. Comme on peut le voir, la grande finesse des câbles fait que leur manipulation requiert patience et minutie.

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Altitude met le cap sur la zone AMEL

L’opérateur d’infrastructure annonce ce matin faire l’objet du premier avis favorable de l’ARCEP en matière de projet d’appels à manifestation d’engagements locaux lancé par le Conseil Départemental de la Côte d’Or.

Initié par l’Etat fin 2017,  la démarche AMEL permet aux collectivités territoriales de retenir un opérateur privé qui s’engage auprès du Gouvernement à déployer un réseau FttH sur tout ou partie du territoire  en complémentarité des déploiements des opérateurs tiers, qu’ils relèvent de l’initiative privée ou publique.

Dans le cadre de la Côte d’Or, l’AMEL s’inscrit en complément du réseau d’initiative publique déployé par le Conseil Départemental. "Il prévoit ainsi l’atteinte de 57 000 foyers en FTTH, qu’Altitude Infrastructure s’engage à financer sur fonds propres et à raccorder d’ici fin 2022, soit 100% des locaux de cette zone", fait savoir l’opérateur.

« Ce projet correspond à notre conception de l’AMEL, qui n’a de vertu que s’il vient en complément d’un projet RIP initial. Nous nous réjouissons de la confiance que l’ARCEP nous accorde sur la Côte-d’Or. Nos engagements sont issus d’une volonté commune, partagée avec l’Autorité, le Gouvernement et le Conseil Départemental , d’apporter le Très Haut Débit pour tous d’ici 2022 », précise David El Fassy, Président d’Altitude Infrastructure.

L’opérateur va pouvoir ainsi se consoler après une récente déconvenue dans les Hautes-Alpes, Alpes de Haute-Provence et les Bouches du Rhône où la DSP qui lui a été confiée a été résiliée. Le déploiement de la fibre revient désormais à SFR collectivités dans le cadre de l’AMEL, éjectant par la même occasion le RIP en place. Une décision qui "interroge sur le dispositif AMEL même, puisque l’Etat a toujours affirmé vouloir mobiliser des investissements privés avec une bonne articulation des projets privés avec ceux de la zone d’initiative publique en respectant l’équilibre économique des projets publics qui ont d’ores et déjà été lancés » avait martelé le PDG d’Altitude en décembre dernier. En Côte d’Or, la situation diffère puisque l’AMEL ne prend pas le dessus mais arrive en renfort du RIP.
 
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Recrutements hebdomadaires : Free repart à la baisse même s’il reste fort sur la fibre

 
Nous avons repris notre rubrique du lundi mais avec uniquement le gain d’abonnés hebdomadaire sur la fixe chez Free. Nous avions stoppé cette rubrique car il n’y avait plus accès aux données sur les nouveaux NRO Free, mais avec le déploiement des DSLAM IPV6, francois04, permet tout de même d’avoir une estimation du nombre d’abonnés que ce soit en fibre ou en ADSL. Il a en effet mis en place une méthode de détection qui permet de distinguer les connexions xDSL par rapport aux connexions Fibre par la mesure de la latence (temps de propagation dans le réseau) entre le Dslam et la box de l’abonné.
 
 
Déploiement FTTH chez Free du dimanche 17 au samedi 23 mars
 
Durant ces 7 jours, le nombre de nouveaux abonnés connectés en FTTH a augmenté de 9 500 (contre 11 700 la semaine dernière).  Au total Free compte 1 125 100 abonnés FTTH selon les estimations de francois04. Free reste donc sur un moyenne de recrutement d’environ 50 000 abonnés fibre par mois, en ligne avec les objectifs annoncés.
 
Vous pouvez retrouver la localisation des NRO Free qui sont identifiés par Freepon .
 
Déploiement ADSL et VDSL chez Free du dimanche 17 au samedi 23 mars
 
Sur  la semaine passée, le nombre d’abonnés ADSL et VDSL a baissé de 26 100 abonnés (contre 10 300 la semaine précédente) pour un total de 5 331 800 abonnés ADSL au total à la fin de la semaine dernière.
 
Un nombre total d’abonnés qui est en baisse cette semaine
 
Cette semaine (et suite à l’ajustement de françois04 qui tient compte des résultats du 4ème trimestre 2018) Free a subi un grosse perte au total ( FTTH + ADSL) de 16 600 abonnés (contre un gain de 1 400 la semaine précédente). En date du 23 mars, Free comptait ainsi 6 456 900 abonnés selon les estimations de francois04. Il faudra voir durant les prochaines semaines si cette tendance si Free continue sa baisse ou s’il repart à la hausse, mais globalement l’opérateur a gagné des abonnés depuis le début de l’année, certainement en partie grâce au lancement de la Freebox Delta. Rappelons que Free en avait perdu au cours de l’année 2018
 
 

 

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La carte interactive sur le déploiement de la fibre de l’Arcep évolue avec une nouveauté très attendue

L’outil de l’Arcep de suivi de l’avancement des déploiements fibre accueille une nouveauté importante : les prévisions de déploiements sont désormais intégrées mais pas que…

En décembre 2018, et dans un souci de transparence autour du déploiement de l’Internet très haut débit en France, l’Arcep a mis en ligne une carte interactive. Accessible au grand public à l’adresse cartefibre.arcep.fr, celle-ci permet de savoir si vous êtes éligibles ou non à l’Internet très haut débit. Tous les trois mois, elle profite d’une mise à jour, grâce aux données recueillies en open data.

Après l’apparition en décembre dernier des immeubles, ainsi que des pastilles pour indiquer l’état d’avancement des raccordements, le régulateur met aujourd’hui à disposition dans sa carte les prévisions de déploiements. Mais seulement puisque les calendriers annoncés par les opérateurs et les RIP sont affichés à l’échelle de la commune, a annoncé ce matin le régulateur qui a également mis à jour son tableau de bord.

 

 

 
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Orange annonce avoir construit 10 millions de prises en fibre optique FTTH

C’est un cap de franchi pour l’opérateur historique dans le déploiement du très haut débit: la 10 millionième prise fibre construite par Orange. 

Une étape symbolique franchie par l’opérateur qu’il a célébré à l’endroit où la nouvelle prise a été construite : Mirande, dans le Gers. Stéphane Richard a ainsi fait un discours pour fêter cette prise représentative des efforts de l’opérateur, tout en annonçant que 70% du réseau de fibre en France venait de l’opérateur historique. 

Cet évènement a également été l’occasion pour Orange de rappeler que la Fibre d’Orange arriverait prochainement sur tous les réseaux d’initiative publique, qu’ils soient ou non opérés par Orange. Il a également été précisé, que la construction de ce réseau contribuait à la formation de personne éloignés de l’emploi et si vous souhaitez en découvrir plus sur le sujet, Univers Freebox a réalisé un reportage sur les métiers et formations nécessaires au déploiement de la fibre optique mais également sur les outils et les manipulations liés à ce domaine.

 

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Selon UFC-Que Choisir, “on est très loin des promesses” d’Orange, Free, SFR et Bouygues en matière de débits sur les box

Pour la deuxième année consécutive, l’UFC-Que Choisir lève le voile sur son observatoire exclusif des débits de l’Internet fixe. Bilan : "on est loin du compte". Dans les zones rurales, les écarts sont même considérables.

Les chiffres fournis par les opérateurs correspondent à des débits maximums théoriques qui, en réalité, sont bien rarement atteints, surtout dans les campagnes, c’est en substance ce que démontre aujourd’hui l’association de consommateurs dans son rapport. Celui-ci met en exergue une réalité inquiétante, 6,8 millions de personnes sont "privées d’un accès de qualité minimale à internet", de quoi remettre en question la transparence de l’Etat au sujet de la fracture numérique. L’UFC-Que Choisir note également qu’au total "10,1% des consommateurs ne disposent pas d’un internet de qualité minimale, quant au bon haut débit, ce sont près de 12,8 millions de personnes qui en sont privés". Autre regret, "les données sur les débits théoriques proposés aux consommateurs dans sa maille la plus fine, à savoir la commune, ne sont plus disponibles depuis un an", ce qui rend plus difficile la réalisation de son observatoire, rapporte l’AFP.

"Jusqu’à 20 mégabits/s, voilà ce que proposent la plupart des opérateurs à leurs clients connectés en ADSL. En vérité, on est à peine à 8 Mb/s. Pour le très haut débit (fibre, câble et VDSL), l’écart est encore plus important. Alors que la plupart des opérateurs annoncent 500 Mb, voire 1 Gb par seconde, le débit moyen réel se situe plutôt autour de 175Mb/s", constate l’association, notant que ces chiffres ne constituent qu’une moyenne que "ils dépendent de certains facteurs dont les opérateurs ne sont pas forcément responsables" comme une connexion Wi-Fi, des équipements vétustes  ou une mauvaise installation pouvant entraîner une perte de débit réel.

Plus inquiétant encore, les écarts de débits entre les villes et les zones rurales. Ceux-si sont 2 à 5 fois plus faibles dans les campagnes d’après l’étude. "On sait depuis longtemps que les habitants des campagnes disposent de débits moins élevés que ceux des villes. Mais jusque-là, il était difficile de connaître l’ampleur du fossé qui les séparait", relate UFC-Que Choisir avant de dégainer ses chiffres. Sans appel, plus la commune est petite, plus le débit moyen est faible. Ainsi, en ADSL, on passe de 9,1 Mb/s en moyenne dans les villes de plus de 30 000 habitants à 5,2 Mb/s dans les villages de moins de 1000 administrés, la faute souvent à "des répartiteurs moins bien équipés par les opérateurs et des lignes de cuivre souvent plus longues".

S’agissant du très haut débit le fossé est encore plus grand. Dans les grandes villes, les débits sont en moyenne de 284 Mb/s, contre environ 100 Mb/s dans les communes de moins de 3000 âmes et 49 Mb/s dans les villages de moins de 1000 administrés. L’explication, les technologies utilisées diffèrent parfois. Si dans les grandes villes sont principalement le FTTH est légion, dans les petites communes, les habitants doivent se contenter pour le moment de solutions moins performantes comme le VDSL. "On est loin, très loin, des promesses des opérateurs", résume en somme l’association.

L’UFC-Que Choisir  observe toutefois  que les zones rurales qui profitent de plus en plus de la fibre, mais les inquiétudes sont prégnantes. Alors que le président de la République a promis un bon débit supérieur à 8Mb/s pour tous fin 2020, avec un objectif de très haut débit (supérieur à 30 Mb/s) pour tous, d’ici 2022, 10% de la population pourrait à cette date ne pas avoir accès à un bon débit, à en croire la fédération des RIP, InfraNum.

 

Source : UFC-Que Choisir, AFP.

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Reportage Univers Freebox : la soudure fibre optique expliquée de A à Z

Suite de nos vidéos tournées dans le cadre de nos reportages consacrés à la fibre optique. Dans celle-ci, un formateur nous fait la démonstration d’une soudure fibre optique et nous présente les outils.

Hier, nous vous présentions un reportage tourné sur un plateau de formation de la CCI inauguré il y a quelques années en Lorraine. Au cours de celui-ci, Fabrice Constantin, l’un des formateurs, nous avait notamment fait la démonstration d’une soudure optique. Cette manipulation prend en général 2 à 3 minutes. Un câble-installateur est amené à la réaliser près de 150 fois par jour en moyenne. 

Voici comment ça se passe dans les grandes lignes. Il faut tout d’abord dénuder la fibre optique pour enlever la couche de gaine primaire, puis la nettoyer à l’aide d’une lingette non peluchable imbibée d’alcool isopropylique. Vient ensuite le passage dans la cliveuse, afin d’obtenir une découpe verticale et nette. Les deux fibres à souder sont ensuite placées dans une soudeuse à l’arc électrique. À l’issue de la soudure, un test de traction sera effectué. Dernière étape : le câble sera placé dans une gaine thermorétractable appelée smoove, puis dans un four.

Cette démonstration a été l’occasion d’en savoir davantage sur le coût du matériel, à savoir 500 euros pour une cliveuse, 2 500 à 4 000 euros pour une soudeuse gaine à gaine (pour le raccordement FTTH), 4 500 à 7 000 euros pour une soudeuse cœur à cœur (pour la distribution ou le transport). Toujours côté outils, il y a le réfléctomètre optique qui coûte dans les 5 000 euros et le puissancemètre optique qui vaut dans les 500 euros. Le premier permet d’estimer la longueur de la fibre optique et l’atténuation du signal, et de trouver les éventuels défauts comme les cassures. Le second sert à mesurer la puissance et la perte du signal sur une liaison fibre optique. Quant à la fibre optique, elle coûte dans les 1 euro le mètre, lors d’un achat en gros volume. Rappelons d’ailleurs que celle-ci ne peut être travaillée en dessous des -5°C, car elle devient cassante. 

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Reportage Univers Freebox : découvrez les futurs soldats de la fibre optique

En plein déploiement du très haut débit en France, nous allons vous proposer plusieurs reportages autour de la fibre optique. Ils vous permettront de voir comment se passe l’installation de la fibre, comment s’organise les acteurs de la formation pour répondre à la forte demande en main d’oeuvre et qui sont les futurs soldats de cette grande transformation numérique. Voici le premier épisode.

À l’heure de la dématérialisation des contenus et services, y compris ceux de l’administration, la France a lancé son Plan Très Haut Débit visant à une généralisation du très haut débit sur le territoire en 2022. Pour parvenir à cet objectif de déploiement, les opérateurs télécoms doivent mettre les bouchées doubles, en investissant massivement, mais également en renforçant leurs équipes. Un site Objectif Fibre a d’ailleurs été lancé par le gouvernement, afin de faciliter les recrutements dans le secteur.

Pour en savoir plus sur les métiers de la fibre optique, nous nous sommes rendus sur un plateau de formation de la CCI inauguré il y a quelques années en Lorraine. Nous avons ainsi pu échanger avec l’équipe pédagogique, pour avoir un aperçu des formations disponibles et des compétences nécessaires. Minutie, organisation et goût pour le travail en extérieur sont ainsi de rigueur pour le câbleur-installeur. De son côté, le technicien doit montrer des aptitudes plus techniques, telles que la lecture de plans, la réalisation de mesure ou la résolution de problème. Les stagiaires nous ont expliqué leur parcours et leurs attentes. Leur rêve ? Travailler chez Orange. Nous apprendrons aussi les différents niveaux de salaire que peuvent espérer les stagiaires. Premier maillon de la chaîne, le câbleur-installateur peut par exemple espérer 1 300 ou 1 400 euros. Une chose que l’on a pu noter à notre arrivée et qui nous a été confirmée par l’équipe pédagogique : le peu de femmes dans le secteur. Peut-être cet aperçu suscitera-t-il des vocations.

Ce reportage est le premier d’une série. Nous en tournerons en effet dans plusieurs villes de France. Le prochain épisode vous montrera d’ailleurs comment est réalisée un soudure fibre optique.

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Free officialise discrètement la signature d’un accord de cofinancement en zone AMII avec SFR

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Si Iliad a été le premier opérateur à signer avec Orange en 2012 un accord de cofinancement en zone AMII lui donnant accès à l’intégralité des lignes déployées, restait à trouver un terrain d’entente avec SFR. C’est désormais chose faite. Free va pouvoir lancer progressivement ses offres fibre dans les zones gérées par l’opérateur au carré rouge.

En juin dernier lors de la convention Free, le directeur général d’Iliad Thomas Reynaud s’était montré optimiste quant à une arrivée des offres fibre de Free sur les réseaux de SFR ajoutant "essayer de signer" avec l’opérateur.

C’est désormais officiel, a défaut d’un communiqué dédié, Iliad a annoncé la nouvelle hier dans son rapport de gestion 2018 lors de la présentation de ses résultats annuels : "le Groupe a par ailleurs signé un contrat d’accès en cofinancement sur les mêmes principes [que celui conclu avec Orange, ndlr] avec le second opérateur en charge des déploiements dans ces zones, et s’est engagé à cofinancer plusieurs agglomérations dans le cadre de ce contrat."

Si "SFR" n’est pas cité explicitement, il s’agit bel et bien de l’opérateur de patrick Drahi puisqu’il est le seul à déployer la fibre en Zone AMII avec Orange. Une annonce qui vient confirmer de récentes constatations. Une première zone a été ouverte, permettant à de premières Freebox d’être éligibiles à la fibre optique sur le réseau opéré par SFR.

Pour rappel, l’accord entre Free et orange permet à l’opérateur de Xavier Niel d’avoir accès aux lignes déployées et de "cofinancer le déploiement à hauteur de la part de marché locale souhaitée, au travers l’acquisition de tranche de 5%", indique le rapport. Plus précisément, cette offre d’accès d’Orange permet de cofinancer à la fois la ligne entre le point de mutualisation et le logement, mais également les fibres de collecte entre le point de mutualisation et le NRO.

Depuis, Iliad a étendu "ses engagements de cofinancement au fur et à mesure de la progression des déploiements de l’opérateur historique, afin d’étre présent sur l’ensemble des zones déployées par ce dernier", a t-il fait savoir.

 

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Fibre : Free fait le bilan du déploiement de son réseau FTTH, qui est en forte accélération

A l’occasion de la publication de ses résultats 2018, Free a fait le point sur le déploiement de son réseau FTTH. A l’aide de plusieurs graphiques et illustrations, on peut ainsi constater que la fibre de Free se déploie à un bon rythme. Il peut ainsi se targuer d’être le 1er opérateur alternatif sur le FTTH.

Prises connectables Free

Il s’agit des logement pour lesquels le câblage horizontal ainsi que le câblage vertical du bâtiment sont terminé. Free 9,6 millions de prises FTTH connectables à fin décembre. Son objectif est d’en disposer de 20 millions d’ici la fin 2022

Abonnés FTTH connectés chez Free

Une prise FTTH connectable devient connectée à un abonné lorsque l’installation au domicile a été effectuée. Free comptait 1 million d’abonnés en janvier 2019. Il annonce comme objectif plus de 500 000 nouveaux abonnés par an à partir de 2019

Un nombre d’abonnés FTTH mensuels qui accélère chaque année

S’il y a une bonne nouvelle à retenir de ces résultats 2018, c’est que le déploiement et donc le nombre d’abonnés FTTH accélère fortement chez Free. Ainsi, en 2017, Free accueillait 20 000 nouveaux abonnés FTTH par mois, 30 000 en 2017 et 50 000 en 2018. 

Le nombre d’abonné total augmente ainsi dans les mêmes proportions, passant de 310 000 en 2016 à 1 millions en 2018

Répartition du nombre de prises à installer en France en fonction des zones

Free a publié le graph représentant le nombre de prises à installer en Zone Trés Dense où Free installe seul son réseau, les zones Moyennement denses, où Free pratique le co-invetsissement, et enfin les Réseaux d’Initiative Publique (RIP), où Free signe des accords avec les opérateurs d’infrastructures. Free précise avoir signé avec les principaux opérateurs sur les RIP (Covage, Altitude, Axione…) et proposer ses offres dans 90 départements.

 

 

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