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Le déploiement de la fibre optique accélère en France, le nombre d’abonnements décolle

La croissance annuelle du nombre d’abonnements au très haut débit atteint pour la première fois deux millions, en très grande majorité grâce à la fibre optique, c’est le bilan des résultats du suivi du marché des services fixes à haut et très haut débit de l’Arcep.

Une montée en puissance du déploiement et de l’adoption du Ftth.  La croissance annuelle des abonnements très haut débit "atteint pour la première fois deux millions, en très grande majorité grâce à l’essor du FttH", a indiqué hier le régulateur. Plus précisément, au cours du quatrième trimestre 2018, le nombre d’abonnements à très haut débit dont le débit maximum descendant est supérieur ou égal à 30 Mbit/s, a progressé de 615 000 pour atteindre 9,0 millions, soit 500 000 de plus qu’un an auparavant. Une évolution de bon augure étroitement liée à la hausse du nombre d’abonnements en fibre optique de bout en bout, en augmentation de 485 000 par rapport au trimestre précédent, et "contribuant à près de 80% de l’accroissement total du très haut débit". Au 31 décembre 2018, le nombre d’accès en fibre optique de bout en bout s’élève à 4,8 millions de lignes, soit +1,5 millions un an. 

S’agissant des déploiements, le nombre de locaux "rendus raccordables sur le trimestre dépasse pour la première fois le million", observe l’Arcep tout en appelant les opérateurs à accélérer le rythme. Sur les quatre derniers trimestres, 3 212 000 locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH, dont 1 013 000 au T4 2018. Au 31 décembre 2018, 13,56 millions de locaux étaient éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 32 % en un an.

Autre constat, la zone « AMII » "concentre toujours la majorité des déploiements du FttH au cours du quatrième trimestre", avec nouveaux 630 000 locaux  raccordables sur la période, soit la meilleure progression jusqu’ici dans cette zone. De son côté, le rythme des déploiements des lignes FttH dans la zone d’initiative publique continue d’accélérer, avec 249 000 locaux rendus raccordables. Au total, à la fin de l’exercice 2018, 20,1 millions de locaux étaient éligibles à des services à très haut débit, toutes technologies confondues, dont 13,9 millions en dehors des zones très denses.

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Après TDF, l’opérateur d’infrastructure Covage serait bel et bien en vente

Pour 1 milliard d’euros.

Le coup d’envoi est donné. Selon les informations des Echos, l’opérateur d’infrastructure Covage cherche un nouveau propriétaire. Le fonds Cube, actionnaire à 50 % souhaiterait en effet céder ses parts. Une information venant confirmer des révélations du magazine Challenges datant d’octobre dernier, démenties fermement dans la foulée par Covage via un communiqué réaffirmant « l’engagement de ses actionnaires dans l’ambitieux projet qui anime l’entreprise ». Quatre mois plus tard, le fonds actionnaire chercherait à faire un gros coup en profitant de " la flambée des valorisations pour sortir", indique le quotidien. Objectif,  retirer de cette opération,1 milliard d’euros, avec une mise initiale s’élevant à 66 millions d’euros. Reste à savoir quels seront les potentiels acheteurs. Il y a quelques mois, des rumeurs laissaient entendre qu’Altitude pourrait être intéressé.

Quoiqu’il en soit, il y a du mouvement chez les opérateurs d’infrastructure. TDF est en vente et pourrait bien être la proie du duo Axione-Mirova, les discussions seraient avancées. A l’heure où le déploiement de la fibre optique et des réseaux 4 et 5G nécessitent de mobiliser toujours plus de savoir-faire industriel et financier, Mirova est venu donner à Axione, filiale de Bouygues, davantage de moyens dans son développement en entrant au capital de l’opérateur d’infrastructures à hauteur de 49%.

Pour rappel, Free va prochainement proposer ses offres fibre sur les réseaux opérés par Covage à la suite de l’officialisation, le mois dernier, de la signature d’un contrat-cadre entre les deux groupes. 

 

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Free va arriver sur un nouveau réseau fibre au cours du 1er semestre 2019

Free va pouvoir proposer ses offres fibre à davantage d’abonnés

Altitude Infrastructure, au travers de sa filiale Doubs La Fibre, a pour mission d’assurer la commercialisation, l’exploitation et la maintenance du réseau fibre optique que lui met à disposition le Syndicat Mixte Doubs Très Haut Débit, en charge de sa construction.L’objectif de couvrir l’ensemble du territoire en fibre optique d’ici fin 2022 et de proposer des qualités optimales de connexion et de débit partout. Fin 2018, le Syndicat mixte a déjà construit un tiers du réseau cible, pris en exploitation par Doubs La Fibre.

En ce début d’année, Doubs La Fibre annonce que 2019 sera marquée par l’arrivée de 2 opérateurs nationaux majeurs sur l’ensemble du réseau, en plus de la présence déjà effective de Bouygues Telecom : SFR et Free. Ceux-ci sont attendus pour le premier semestre 2019.

Aujourd’hui, 40 000 foyers et entreprises répartis sur 125 communes sont désormais éligibles à la fibre optique. Parmi eux, plus de 6 000 sont abonnés à une offre fibre proposée par l’un des fournisseurs d’accès internet présents sur le territoire.

Rien que sur 2018, le réseau Doubs Très Haut Débit s’est étendu sur 47 nouvelles communes et a enregistré 11 205 nouveaux foyers et entreprises éligibles. Ainsi, le Doubs se classe parmi les 10 premiers départements français pour son taux de couverture en zone rurale.

D’ici là, en 2019, le déploiement va s’accélérer puisque 19 000 nouveaux foyers/entreprises devront être déployés, et le rythme des abonnements devrait suivre.

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Bouygues Telecom trouve son rythme de croisière, performances solides sur le mobile et la fibre

 
A l’instar d’Orange,  Bouygues Telecom a levé ce matin le voile sur ses résultats pour le 4ème trimestre et toute l’année 2018. L’opérateur continue sur sa lancée.

En 2018, la dynamique commerciale de Bouygues Telecom se poursuit et l’opérateur affiche une forte croissance de ses résultats financiers. Dans le détail, le parc Forfait Mobile hors MtoM s’élève au 31 décembre à 10,9 millions d’abonnés avec 573 000 nouveaux clients engrangés en 2018, dont 121 000 au quatrième trimestre, soit légèrement plus qu’Orange. L’opérateur de Martin Bouygues affiche toutefois un recrutement sur ce segment inférieur au T4 2017 où il a séduit 150 nouveaux abonnés. Une baisse de régime est aussi à constater en comparaison au T3 2018 (+199 000) mais la performance reste solide eu égard à la décélération du marché du mobile observée par le régulateur sur cette période.

Dans le fixe, Bouygues Telecom a accéléré ses recrutements sur la fibre en gagnant 102 000 abonnés au quatrième trimestre 2018, soit le meilleur trimestre depuis le lancement de ses offres FTTH. L’opérateur a ainsi "doublé en un an son taux de pénétration sur la fibre, qui s’élève à 16 % à fin 2018", fait-il savoir. En conséquence, son parc d’abonnés FTTH s’élève à 569 000 clients au 31 décembre 2018. Au global, le parc "Fixe" compte 3,7 millions de clients, en hausse de 235 000 clients sur un an, dont 73 000 au quatrième trimestre 2018, autrement dit au même niveau qu’Orange .

Financièrement, Bouygues Telecom ne connaît pas la crise bien au contraire. Son chiffre d’affaires s’établit à 5 344 millions d’euros en 2018, en hausse de 6 % sur un an. L’EBITDA s’élève quant à lui à 1 268 millions d’euros, en augmentation de 171 millions d’euros par rapport à 2017. "La marge d’EBITDA est de 29,8 %, en hausse de 2,8 points sur un an. Cette forte croissance reflète la forte hausse du chiffre d’affaires Services, supérieur aux attentes, ainsi que le maintien d’une structure de coût efficiente", précise l’opérateur. Enfin, le résultat opérationnel courant s’établit à 431 millions d’euros en 2018, en progression de 111 millions d’euros sur un an. Tout va donc pour le mieux.

 

 

 

 

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Orange continue de cartonner sur la fibre et se reprend un peu sur le mobile

Orange et Bouygues Telecom ouvrent le bal des résultats annuels ce matin. L’opérateur historique a également levé le voile sur ses recrutements au quatrième trimestre. Les voyants sont toujours au vert.

Il s’en sort bien malgré un tassement. En France, Orange a engrangé 111 000 nouveaux abonnés sur le mobile hors MtoM, en progression en comparaison au troisième trimestre (82 000) mais en recul par rapport au quatrième trimestre 2017 où l’opérateur a enregistré 212 000 ventes. Celles-ci sont  "positives à la fois sur la marque Orange et sur la marque Sosh", fait savoir l’agrume. Une performance d’autant plus notable à l’heure où le marché du mobile décélère. Le dernier exercice de l’année a enregistré la "plus faible progression d’un quatrième trimestre, celle-ci a été divisée par trois par rapport au T4 2017", a révélé récemment l’Arcep.

Seul bémol pour Orange, l’ARPO mobile seul a baissé de 18 cents sur un an à 17,1 euros en raison de l’impact lié à l’inclusion des offres de livres audio et de lecture numérique ainsi que des migrations vers les offres convergentes et, par conséquent, de l’augmentation du poids relatif de Sosh dans le parc mobile seul.

Sur le haut débit fixe seul, le FAI peut se targuer d’afficher également un 4ème trimestre de bonne facture en termes de performances commerciales avec 71 000 ventes nettes, contre 68 000, 36 000 et 57 000 lors des trois derniers exercices de l’année. Une performance essentiellement tirée par un trimestre record sur la fibre où Orange a recruté 186 000 nouveaux abonnés mais aussi par "le succès" des offres La Boîte Sosh.  Au 31 décembre 2018, Orange compte 11,8 millions de foyers raccordables, en ligne avec son ambition de 12 millions fin 2018, et un total de 2,6 millions de clients FTTH. La fibre d’Orange reste ainsi en croissance en 2018, avec 593 000 ventes nettes en France contre 546 000 en 2017.

Pour la seconde année consécutive, l’agrume enregistre une croissance de son chiffre d’affaires dans l’hexagone, en légère accélération entre 2017 et 2018, "tirée par la forte dynamique des services convergents". Dans le détail, celui-ci progresse de +0,9% en 2018 (18 211 millions d’euros) . Au 4ème trimestre, le chiffre d’affaires est stable à +0,1% à 4, 687 millions d’euros, "mais serait en hausse de +0,5% sans l’impact lié à l’inclusion des offres de livres audio et de lecture numérique", justifie l’opérateur.

Enfin, si l’excédent brut d’exploitation ajusté (Ebitda) du groupe au global a progressé en 2018 de 2,7% par rapport à 2017 , Orange annonce un ralentissement cette année, "cela s’explique par un contexte toujours très concurrentiel, notamment en France et en Espagne, et par la disparition du bénéfice des offres de livres audio et de lecture numérique".

 

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Orange diffuse une publicité où il prétend que la fibre optique c’est mieux qu’un amant

La fibre optique, ça change la vie d’une famille sur bien des aspects. Voilà le message véhiculé par une vidéo publiée par Orange. Entre les séries et l’amant, la maman y trouve particulièrement son compte.

La fibre optique, c’est la promesse de débits en hausse, mais également d’une très faible latence. De quoi envisager de nouveaux usages dans l’industrie, mais aussi en améliorer certains à l’échelle d’une famille.

Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Orange a d’ailleurs choisi cette amélioration du quotidien pour mettre en avant les bénéfices de la fibre optique, avec laquelle tout s’accélère. Les enfants peuvent jouer en toute fluidité, le fils télécharger des tonnes de musiques, le père regarder son match de foot en Ultra HD avec ses copains sans saccades et la mère consommer un max de séries. Pour la maman, "le choix, le nombre, la quantité, mieux qu’un amant en vérité".

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FTTH : Orange “n’abandonne pas les territoires ruraux”

Dans certains département, Orange est le premier rempart contre l’isolation rurale et la fracture numérique. C’est notamment le cas dans le Tarn, où l’opérateur a annoncé qu’il n’avait pas l’intention d’abandonner les territoires ruraux. 

Le contexte du Tarn est un bon exemple du travail qu’il reste à faire sur les territoires ruraux pour une couverture optimale et le bon fonctionnement des infrastructures réseaux. Treize mille kilomètres de réseau cuivré pour 147000 poteaux s’y trouvent pour desservir 216 000 lignes. C’est d’ailleurs le délégué Orange en charge de la région Midi-Pyrénées (où se trouve le Tarn) qui a déclaré «On n’abandonne pas les territoires ruraux et nous continuons à ne pas délaisser le réseau cuivre»

Un réseau ancien qui a déjà nécessité 88 000 interventions en 2018 pour Orange. «Les années passent mais la somme consacrée pour entretenir les lignes du téléphone fixe reste la même. Un réseau qui a profondément changé avec le temps. Ce n’est plus comme en 1970 où la ligne ne servait qu’à téléphoner. Aujourd’hui, elle doit supporter des données, des images, faire que la télévision tourne tout en permettant aux jeunes de jouer en ligne. Nous devons donc mettre le réseau à jour, l’entretenir pour assurer la qualité.» a annoncé le délégué régional d’Orange Jean-Christophe Arguillière. 

Un enjeu de taille donc et pour cela, Orange a déjà ouvert un nouveau central téléphonique dans le Tarn, a un projet de NRA, veut "opticaliser" sept relais dans le but non pas d’amener le très haut débit mais au moins de permettre "aux utilisateurs d’augmenter leur débit. De 2 mégas maximum, ils pourront atteindre jusqu’à 30 mégas.". L’installation de NRA-med qui visent  sont également prévus, avec l’aide du département qui en finance 19 afin d’amplifier les débits et d’éviter aux communes de dépendre de leurs voisins pour bénéficier du débit.

La mise à jour du réseau cuivré reste donc une préoccupation importante pour Orange et l’opérateur historique continue d’améliorer le réseau dans les zones rurales tout en déployant le très haut débit dans les villes. 

Source : La Dépêche

 

 

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Fibre optique : Orange récupère un bout de RIP, l’AMEL gagne du terrain

Le département de la Haute-Vienne vient de choisir Orange pour le déploiement de la fibre optique sur une partie du RIP du territoire. L’AMEL chamboule une nouvelle fois les réseaux d’initiative publique.

Initiée par l’Etat fin 2017, la démarche AMEL permet de faire appel à un opérateur privé pour compléter le réseau d’infrastructures numériques sur des territoires jusqu’à présent couverts par des réseaux d’initiative publique. Dans ce cadre, à la demande du Département, le Syndicat Mixte Dorsal, en charge du déploiement, a lancé à regret, une consultation en novembre dernier. Trois mois plus tard, la collectivité a décidé de confier à Orange  "le fibrage d’une partie de la Haute-Vienne (65.000 prises), en complément notamment de la couverture déjà réalisée  sur fonds publics (35.000 prises)", rapporte Le Populaire du Centre. Parmi les candidats, figuraient également Bouygues et Covage. Vainqueur, l’opérateur historique prévoit un investissement compris entre 70 et 100 millions d’euros. Objectif, accélérer le déploiement et fibrer totalement le territoire d’ici 2024 tout en réduisant le délais de raccordement. En réaction, des voix s’élèvent quant à cette décision. « Ce que va faire Orange ?  Investir au fur et à mesure de ses capacités financières en visant d’abord le plus rentable » a martelé notamment Jean-Marie Bost (élu LR et président de Dorsal).

Ce scénario n’est pas sans rappeler, la  DSP récemment résiliée dans les Hautes-Alpes, Alpes de Haute-Provence et des Bouches du Rhône au profit de l’AMEL. Une nouvelle orientation radicale y a été entreprise en raison de la lenteur du déploiement du réseau FTTH sur le RIP déjà engagé et confié en 2015 à Altitude Infrastructure et sa filiale PACT Fibre. Après consultation, le déploiement de la fibre a ainsi été confié à SFR Collectivités. Le retard y est considérable bien qu’il n’incombe pas l’opérateur d’infrastructure. Seulement 2 125 prises ont été livrées contre une prévision de 49 000 prises. C’est donc aujourd’hui de plus en plus une réalité, L’AMEL bouscule les RIP. 

 

 

 

 

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Fibre optique dans un logement neuf : voici la marche à suivre

Comment ça se passe pour la fibre optique dans le cadre d’un logement neuf ? Une vidéo apporte quelques éclaircissements.

SeLoger.com, site spécialisé dans les annonces immobilières, vient de publier une vidéo sur sa chaîne YouTube. Il s’agit d’apporter quelques éclaircissements concernant les démarches à entamer pour profiter de la fibre optique dans un logement neuf.

Ai-je forcément la fibre optique installée avec un logement neuf ? Vers quels interlocuteurs se tourner si ça n’est pas le cas ? Puis-je souscrire auprès de l’opérateur de mon choix dans le cas d’une co-propriété ? Le raccordement peut-il être pris en charge par l’opérateur ? Autant de questions qui trouveront ici un début de réponse. 

 
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Fibre optique : l’opérateur d’infrastructures Axione veut grandir et s’en donne les moyens

Quand l’union fait la force. Filiale de Bouygues, l’opérateur d’infrastructures Axione a officialisé hier une prise de participation minoritaire dans son capital à hauteur de 49 %  de son partenaire Mirova (Natixis) via ses fonds d’infrastructures généralistes.

 
 
L’objectif de cette alliance, "constituer un leader dans l’investissement, le déploiement, la maintenance et l’exploitation des infrastructures très haut débit fixes et mobiles en France et à l’international", ont fait savoir hier conjointement les deux filiales. A l’heure où le déploiement de la fibre optique et des réseaux 4 et 5G nécessitent de mobiliser toujours plus de savoir-faire industriel et financier, Mirova vient ainsi donner à Axione davantage de moyens dans son développement en entrant au capital de l’opérateur d’infrastructures et ce à hauteur de 49% . Avec 51%, Bouygues Energies & Services  reste actionnaire de référence d’Axione, et continuera de lui "apporter son soutien opérationnel."
 
Acteur majeur du Plan France Très Haut Débit, Axione opère dans le cadre des réseaux d’initiative publique, et développe des projets d’infrastructures fibre optique mutualisées en zones rurales.  Fin 2018, Axione et Mirova ont d’ailleurs étendu ce modèle aux plus grandes villes françaises avec la création de l’opérateur d’infrastructures FTTH CityFast.
 
Pour rappel, Axione est engagé d’ici 2022 sur "un périmètre minimum de réalisation et d’exploitation de 6 millions de prises FTTH en France (soit 13 millions d’habitants), accessibles à tous les opérateurs et représentant un investissement de plus de 3 milliards d’euros". La filiale de Bouygues a signé un accord-cadre avec Free en juin 2017 lui permettant de proposer ses offres fibre sur les réseaux qu’il opère.

 

 

 

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