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Free franchit la barre symbolique du million d’abonnés en fibre optique

Mission accomplie, Free passe un nouveau cap et compte aujourd’hui plus d’un million d’abonnés FTTH selon les estimations de françois04.

Une évolution progressive. On se souvient qu’à l’aube de l’année 2015 soit il y a tout juste 4 ans, l’opérateur de Xavier Niel revendiquait 100 000 abonnés FTTH. Il lui a fallu 8 ans pour arriver à ce stade, mais depuis, le déploiement et le recrutement se sont accélérés. Ainsi, en mars 2016, Free annonçait officiellement disposer de 200 000 abonnés FTTH. Fin janvier 2017, soit 10 mois plus tard, l’opérateur franchissait le cap des 300 000 abonnés FTTH, puis en juillet 2017 les 400 000, en octobre les 500 000, le 30 janvier 2018 les 600 000 abonnés, le 25 mai les 700 000, ou encore les 900 000 le 19 novembre dernier, selon les estimations de francois04.

Free a donc trouvé son rythme de croisière et semble même pouvoir encore appuyer sur l’accélérateur puisque la barre du million d’abonnés FTTH  vient d’être franchie (1 001 600 à ce jour), soit plus de 50 000 nouveaux abonnés en 1 mois. Le FAI remplit par la même occasion l’un de ses objectifs, à savoir arriver à ce seuil début 2019.
 
 
Les objectifs sur le fixe :
 
  • Part de marché Haut Débit et Très Haut Débit de 25% à long terme ;
  • Hausse de la base d’abonnés FTTH  de 300 000 à 500 000 abonnés en 2018, puis d’environ 500 000 abonnés par an à partir de 2019 ;
  • Atteindre 1 million d’abonnés FTTH  début 2019 ; 
  • 9 millions de prises raccordables au FTTH  à fin 2018 et 20 millions de prises FTTH  à fin 2022.
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FTTH : le Fédération Nationale des FAI associatifs publie une carte des RIP et dénonce des blocages

La FFDN a mis en ligne une carte afin d’illustrer l’étendue des RIP, ces réseaux déployés par les pouvoirs publics dans les zones très peu peuplées. Il s’agit de suivre l’avancement des choses, mais aussi d’illustrer les blocages qui peuvent rencontrer les FAI associatifs souhaitant accéder à ces infrastructures.

Les RIP : les pouvoirs publics prennent le relais

Dans le cadre du déploiement du très haut débit en France, trois catégories de zones ont été définies par le gouvernement : les zones densément peuplées où chaque fournisseur d’accès à Internet doit déployer son propre réseau fibre optique, les zones moyennement peuplées où les FAI sont invités à mutualiser les investissements et les zones peu peuplées où les pouvoirs publics prennent le relais avec ce que l’on appelle les RIP (Réseau d’Initiation Publique).

Tous les FAI logés à la même enseigne ?

Qui dit financement par les pouvoirs publics sous-entend de l’argent public en jeu. On s’attend par conséquent à une certaine égalité d’accès pour les FAI, que ce soit les grands (Bouygues, Free, Orange et SFR) ou les plus petits comme les FAI dit associatifs. Reste que ça ne serait apparemment pas toujours le cas, comme le souligne la FFDN, qui regroupe les fournisseurs d’accès à Internet associatifs et dénonce des freins.

Une carte en ligne pour illustrer les difficultés des FAI associatifs

Les FAI alternatifs ne ciblent pas la rentabilité. Ils entendent simplement proposer un accès à Internet pertinent en termes de nombre d’abonnés et de tarif, tout en rentrant dans leurs frais. Et c’est là où ça coince. Les bâtons dans les roues tels que les conflits d’intérêt font que le lancement d’un FAI associatif n’apparaît pas toujours – voir pas du tout dans ces certains – envisageable. Ramenée à l’échelle nationale, une telle situation peut bloquer l’émergence d’initiatives et l’avancement du déploiement du très haut débit en France.

C’est pour illustrer la situation que le FFDN a récemment mis en ligne une carte montrant les facilités à lancer un FAI associatif (note de A à Z, A étant parfait et Z impossible). Fruit d’un travail de collecte de données réalisé pendant un an et demi par des bénévoles, elle renseigne aussi l’activation ou non d’offres et la probabilité de futures activations, ce qui donne une idée de la facilité d’accès pour les FAI associatifs. Sont également précisés les types de contrat en place, avec une grande majorité de DSP (Délégation de service public).

Les FAI associatifs veulent des offres de gros en zone dense et moyennement dense

Rappelons que les FAI associatifs ont récemment fait savoir au gendarme des télécoms, l’ARCEP, et à Orange, qu’ils souhaitent une ouverture à la concurrence dans les zones denses et moyennement denses grâce à des offres de gros.

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Baromètre nPerf : la fibre de Free surpasse la concurrence en 2018, celle d’Orange se classe dernière

Comme prévu, nPerf dévoile son baromètre annuel des connexions internet fixes. Cette étude est basée sur les données du site nPerf.com qui permet d’évaluer la qualité de sa connexion fixe ADSL, VDSL, câble ou FTTH en effectuant un test de débit en ligne. Sur la fibre, Free confirme sa place de meilleur performer, raflée au nez et à la barbe d’Orange en 2017. L’opérateur historique se classe dernier sur ce segment.

Parmi les principaux enseignements, si Orange vole cette fois la vedette à SFR en s’emparant de la première place toutes technologies confondues, porté par un grand parc de plus de 2,4 millions d’abonnés en fibre optique,  il est difficile cependant d’en tirer des conclusions puisque toutes les technologies sont mélangées, et les mesures reparties entre « haut débit » (- de 30Mbits de débit descendant) et « très haut débit » (+ de 30Mbits de débit descendant). A chaque fois, on retrouve ainsi des abonnés xDSL, câble et fibre.
 
Néanmoins, cette étude permet un comparatif des débits FTTH chez Free, Bouygues Telecom, SFR et Orange. Afin d’isoler les tests FTTH pour la comparaison, nPerf a choisi de filtrer sur un débit montant supérieur ou égal à 100 Mb/s. Ainsi, seuls les résultats FTTH ressortent, les technologies type FTTLA/FTTB ou VDSL sont de fait écartées. Attention toutefois, ce filtre a pour conséquence d’éliminer également les « mauvais » tests FTTH, tout du moins ceux qui présenteraient un débit montant inférieur à 100 Mb/s. Néanmoins, ce filtrage étant identique pour tous les opérateurs, il ne remet pas en cause la comparaison.
 
 Voici la répartition des 747 270 tests FTTH  une fois le filtrage appliqué 
 
 
 
Orange a toujours une position dominante sur le marché FTTH avec 58,9% des tests effectués par ses clients  contre 63.80% l’année précédente. Vient ensuite très loin derrière, Free, avec 19.6%. Bouygues dépasse SFR  avec 11,4%, l’opérateur au carré rouge ferme quant à lui désormais la marche avec seulement 8,14 % des tests effectués. 
 

Grand vainqueur pour la deuxième année consécutive, Free a fourni le meilleur débit descendant FTTH en 2018. L’opérateur de Xavier Niel domine "largement ses concurrents sur les débits des réseaux fibrés avec plus de 40 Mbits d’avance sur le deuxième, SFR", note nPerf.

Au coude à coude avec Free en 2017, Bouygues Telecom a quant à lui perdu près de 60 Mb/s sur sa moyenne annuelle, "chute probablement liée au lancement de l’offre Must en avril qui limite le débit à 500 Mb/s".

Enfin, sur l’ensemble de la période, Free a proposé un débit unique de 1 Gb/s à l’ensemble de ses clients FTTH tandis qu’Orange, Bouygues Telecom et SFR ont fait le choix de segmenter leurs offres, tous les clients ne bénéficient donc pas du débit maximum. "Toutefois, les règles de filtrage appliquées éliminent les offres d’entrée de gamme chez SFR qui sont limitées à 50 Mb/s de débit montant", précise le baromètre.

 

Débits montants, Bouygues toujours en tête 

 

Bouygues Telecom a fourni le meilleur débit montant FTTH en 2018 mais a perdu -4%, soit -9 Mb/s sur sa moyenne par rapport à 2017. Free et Orange ne sont pas loin derrière, Orange ayant enregistré la plus forte progression annuelle avec +35%, soit +54 Mbits sur sa moyenne.

Enfin, côté temps de réponse, Free et Bouygues Telecom ont proposé la meilleure latence FTTH en 2018. Par rapport à 2017 tous les opérateurs ont perdu entre 1 et 2 ms.

 

Rappelons enfin que le  score nPerf, exprimé en nPoints, "donne une image globale de la qualité d’une connexion. Il tient compte des débits mesurés (2/3 descendant + 1/3 montant) et de la latence. Ces valeurs sont calculées sur une échelle logarithmique de façon à mieux représenter la perception qu’en a l’utilisateur."

Voici le classement final sur le FTTH.

 

 

 

 

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Free annonce être numéro 1 sur la fibre en 2018, pour la deuxième année consécutive

En marge de la publication le baromètre nPerf des connexions Internet fixes en France métropolitaine pour l’ensemble de l’année 2018, Free prend les devants en révélant être l’opérateur le plus performant en matière de débit descendant en FTTH avec en moyenne 453,12 Mbit/s. Ce n’est pas une première puisque le FAI de Xavier Niel a déjà obtenu cette distinction en 2017.

Ainsi, Free devance largement ses concurrents avec plus de 40 Mbit/s d’avance sur le deuxième opérateur. L’opérateur obtient également la meilleure performance globale sur la Fibre optique en 2018 avec le meilleur score nPerf sur ce segment. Ce score donne une image globale de la qualité d’une connexion. Il tient compte des débits mesurés et de la latence.

"Ces performances démontrent la qualité des offres proposées par Free sur la Fibre. Avec la Freebox Delta, les abonnés Fibre bénéficient désormais du meilleur débit FTTH existant grâce à la technologie Fibre 10 G. Tous les abonnés Freebox, quelle que soit leur Freebox compatible Fibre, bénéficient également du meilleur débit montant à 400 Mbit/s", se félicite le groupe ce matin. Ces débits sont accessibles à 10 millions de foyers raccordables à la Fibre de Free.

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Un FAI associatif va proposer pour la première fois en France un abonnement fibre optique à des particuliers

 

 

C’est une première, l’opérateur participatif Illyse va proposer de la fibre optique à des particuliers dès 2019, dans un département.

Début décembre, le FAI Illyse a lancé une campagne de financement participatif afin de collecter les fonds nécessaires à l’ouverture d’une porte de collecte FTTH sur la DSP la Loire (RIP THD42 opéré par Axione). Le 18 décembre dernier, l’opérateur associatif a passé un premier pallier en récoltant 5520 euros, lui permettant d’accéder au RIP, c’est à proprement parler le ticket d’entrée qui lui permettra de mettre en place l’infrastructure de collecte, et ainsi pouvoir proposer les premiers accès fibre. L’abonnement sera proposé à environ 35 euros par mois, des frais de mise en service seront facturés, sans oublier l’adhésion à l’association.

Enfin, il y a deux jours, Illyse a annoncé sur Twitter avoir franchi un second pallier de 4114 euros, lequel lui permettra de devenir "LIR" Local Internet Registry) soit de recevoir une allocation d’adresse IP d’un registre Internet régional en vue d’attribuer ces adresses à ses clients.

L’opération est donc un franc succès, Illyse va ainsi devenir le premier opérateur associatif à proposer de la fibre optique à des particuliers tout en s’adressant également aux entreprises. Une petite victoire en soit à l’heure où la fédération des fournisseurs d’accès internet associatifs poussent aujourd’hui pour une ouverture à la concurrence sur le marché de la fibre optique par le biais d’une offre « bitstream » afin de proposer du très haut débit à ses adhérents, comme c’est le cas pour l’ADSL.

 

Source : 01 Net

 

 

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Déploiement très haut débit : l’Etat débloque une enveloppe de subventions de 620 millions d’euros

Afin d’accélérer le déploiement du très haut débit dans les zones rurales, l’Etat a décidé de mettre la main à la poche. Au total, 17 collectivités sont concernées. Les subventions vont de 1,3 million d’euros pour la Guyane à 75 millions d’euros pour l’Ain.

Une bonne nouvelle, le Premier ministre Edouard Philippe a signé lundi pour environ 620 millions d’euros de subventions de l’Etat pour le déploiement du très haut débit dans 17 collectivités, via des réseaux d’initiative publique. Ces engagements visent à accélérer massivement le déploiement de la fibre optique dans  "ces 17 territoires qui représentent au total plus d’un quart de la population française". Par conséquent, ceux-ci contribuent "de manière décisive" aux objectifs fixés par le président de la République en matière de couverture numérique fixe, à savoir la généralisation du haut débit partout en France en 2020 et du très haut débit en 2022, a fait savoir Matignon.

Les financements bénéficieront aux territoires suivants : Auvergne (68,38M€ pour un soutien cumulé de l’Etat au projet du territoire de 122,3 M€), Ain (74,6 M€), Nord-Pas-de-Calais (72,87 M€), Grand Est (62,06 M€), Charente (60,07 M€), Martinique (50,55 M€), Landes (41,87 M€), Loire-Atlantique (38,46 M€), Doubs (21,02M€ pour un soutien cumulé de l’Etat au projet du territoire de 31,52 M€), Corse (28 M€), Jura (27,22 M€), Calvados (27 M€), Lot-et-Garonne (25,51 M€), Essonne (14,48 M€), Deux-Sèvres (3,61 M€), Var (3,07 M€), Guyane (1,3 M€).

 

 

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Interview Xavier Niel : Free promet 10Gbits/s en fibre et a mis les moyens dans son réseau et sa Freebox Delta pour pouvoir réellement en profiter

Nouvel épisode de l’interview exclusive de Xavier Niel réalisé par Univers Freebox. Dans cette partie nous abordons la question des débits et l’annonce de 10Gbits/s pour les abonnés Freebox Delta. Selon le fondateur de Free, l’opérateur a upgradé ses équipements réseau, dans les différentes zones (denses, AMII et RIP) afin que chaque abonné puisse en profiter tout de suite.

Mais ce n’est pas tout puisque Xavier Niel explique que cela ne sert à rien d’avoir 10Gbits qui arrive dans la Freebox si elle n’est pas capable de délivrer ce débit sur vos différents périphériques locaux. C’est pour cette raison que Free a intégré des composants très onéreux dans cette nouvelle Freebox Delta, afin que celle-ci puisse fournir réellement 10 Gbit/s sur le port SFP+ (1 Gbit/s sur les ports Ethernet) et 4,4 Gbit/s en wifi. Il précise que Free a même fait constater par huissier que la Freebox permettait ces débits.

Vous pouvez retrouver les autres partie de l’interview de Xavier sur la chaîne YouTube d’Univers Freebox et vous y abonner pour ne pas rater nos prochaines publications

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Free franchit la barre des 950 000 abonnés fibre et devrait atteindre le million en janvier

Début 2015, Free franchissait le cap des 100 000 abonnés FTTH. Il lui aura fallu 8 ans pour arriver à ce chiffre, mais, depuis, les choses se sont accélérées. Ainsi, en mars 2016, Free annonçait officiellement qu’il disposait de 200 000 abonnés FTTH. Fin janvier 2017, soit 10 mois plus tard, l’opérateur franchissait le cap des 300 000 abonnés FTTH, en juillet 2017, les 400 000, en octobre 2017 les 500 000, le 30 janvier 2018 les 600 000 abonnés, le 25 mai les 700 000, le 800 000 le 10 septembre et 900 000 le 19 novembre dernier, selon les estimations de francois04.

Le déploiement continue à s’accélérer puisque la barre des 950 000 abonnés FTTH vient d’être franchie (957 200 à ce jour), soit plus de 50 000 nouveaux abonnés en 1 mois. L’opérateur sera donc au  delà des 300 000 abonnés supplémentaires prévus sur l’année 2018 (puisque ce chiffre est déjà dépassé à ce jour ) et il est  bien sur la bonne route pour franchir le million d’abonnés début 2019, comme il l’avait annoncé. S’il suit ce  même rythme, le million devrait même être atteint début janvier 2019.

 

 

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Fibre optique : Free et Bouygues Telecom gagnent des parts de marché, Orange perd du terrain

A l’heure où le déploiement de la fibre est sur toutes les bouches, il est intéressant de faire le point sur la bataille des parts de marché au troisième trimestre en prenant appui sur les derniers chiffres de l’Arcep et des opérateurs.

Une avance toujours très confortable pour Orange qui perd toutefois du terrain. Free et Bouygues appuient sur l’accélérateur alors qu’SFR s’évertue à ne pas dévoiler ses chiffres sur la fibre, c’est le bilan que fait la fibre.info sur le marché à fin septembre 2018. Dans le détail, l’opérateur historique a perdu 5 points de pda sur 12 mois. Orange s’adjuge malgré tout 56% de part de marché au troisième trimestre contre 63,4% il y a un an, avec 2,418 millions d’abonnés FTTH soit une augmentation de 31,8% de sa base clientèle du T3 2017 au T3 2018.

Hausse de 72,9% de la base clientèle de Free en un an

De leur côté, Free et Bouygues progressent au même rythme et grappillent des parts de marché. L’opérateur de Xavier Niel est bien installé à la deuxième place avec 19,4% de pda contre 16,7% il y a un an. Le premier opérateur alternatif sur la fibre compte plus de 835 000 abonnés FTTH soit une augmentation de 72,9% de son parc en 12 mois. Bouygues progresse bien mais accuse, malgré ses performances solides, du retard avec 10,8% de part de marché et est crédité d’une hausse impressionnante de 123,4% de sa base clientèle sur la même période.

Du côté de SFR, cela se complique. Dans ses publications, l’opérateur au carré rouge fait le choix de compiler l’intégralité des technologies THD qu’il utilise. "La rubrique « SFR + Autres » est donc calculée en prenant le nombre total d’abonnements qui est publié par l’Arcep, auquel on retranche les chiffres publiés par Bouygues, Free, Orange", indique Hammett de la fibre.info. Dans son observatoire du haut et très haut débit fraîchement publié, le régulateur compte 4,315 millions de clients sur le FTTH. Après calcul, "SFR et Autres" obtiennent ainsi 13,8% de part de marché contre 12,7% il y a un an, leur base clientèle est quant à elle en augmentation de 61,2%. Néanmoins, il est impossible de dire précisément "qui de SFR ou "Autres" tire la machine". 

Autre constat, entre le T3 2017 et le T3 2018, Orange a réalisé "41,1% des nouveaux abonnements, contre 53,8% pour la période comprise entre le T3 2016 et le T3 2017. Logiquement, le marché se rééquilibre sérieusement. Pour Bouygues, c’est 18,2% et 12,1%. Pour Free, c’est 24,8% et 21,2%. Pour SFR & Autres, c’est 15,9% et 12,9%", révèle le site.

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Free : la fibre optique progresse, 13% des abonnés fixe en sont équipés

En panne sèche sur le fixe après avoir perdu 61 000 abonnés  au cours des neufs premiers mois de l’année, l’opérateur de Xavier Niel peut se targuer ne pas connaître la crise sur la fibre.

Le FTTH monte en charge chez Free. Dans le détail, la fibre représente à fin septembre, 12,9% de sa base clientèle, contre 8,5% à fin 2017, 4,9% à fin 2016, 3,0% à fin 2015 et 1,7% à fin 2014 a analysé Hammett sur la fibre.info. "La machine est lancée c’est la seule qui tire la croissance de Free. Bouygues est en vue", commente t-il et d’ajouter que la Freebox Delta pourrait prendre essor parmi cette clientèle. Au total, Free compte au troisième trimestre 6,4 millions d’abonnés haut et très haut débit dont 835 000 FTTH, le FAI a par ailleurs confirmé sa position de 1er opérateur alternatif en FTTH au troisième trimestre, en ligne avec ses objectifs. Son rythme de recrutement devrait quant à lui continuer à s’accentuer sur les prochains trimestres après une performance notable entre juin et septembre où Free a engrangé 100 000 nouveaux abonnés sur la fibre. L’opérateur dispose par ailleurs de 8,4 millions de prises raccordables, soit 2,2 millions de prises supplémentaires sur les 9 premiers mois de l’année.

A titre de comparaison, la fibre  représente 13 % de la base clientèle de Bouygues à fin septembre, 7,7% à fin 2017 et 3,9% à fin 2016. Du côté d’Orange, 20,8% de clientèle disposent d’un abonnement fibre contre 17,4% à fin 2017 et 13,% à fin 2016. SFR ne faisant pas le distinguo entre le FTTH et FTTB (coaxial), il est impossible de connaître la représentativité de la fibre dans son parc d’abonnés fixe.

 

 

 

 

 

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