Auteur : Maxime Raby

Les offres fibre de Free arrivent dans une nouvelle zone opérée par SFR

En plus des réseaux d’initiative publique (RIP), Free continue de lancer ses offres fibre progressivement en zone AMII de SFR. Des adresses Freebox sont éligibles dans une nouvelle zone.

Fruit de la signature en mars 2019 d’un contrat d’accès dans la zone AMII de SFR sur les mêmes principes que celui conclu avec Orange, les offres fibre de Free se démocratisent un peu plus sur tout le territoire et également sur les réseaux de l’opérateur au carré rouge. Après des ouvertures notamment en banlieue de Toulouse Nantes et Orléans, ou encore à la Rochelle et son agglomération,  Free commence à lancer ses offres FTTH dans département des Bouches-du-Rhône. De premières adresses Freebox sont actuellement éligibles dans les villes de Châteauneuf-les-Martigues et Septèmes-les-Vallons, révèle Busyspider

Pour découvrir toutes les zones moyennement denses opérées par SFR  concernées les pré-ouvertures commerciales de Free sur la fibre, notre confrère a réalisé une carte qui évolue au fur et à mesure des annonces. 

 

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Orange, Free et Bouygues vont payer plus cher la fibre de SFR dans certaines zones, les opérateurs grognent

Après longtemps pesté sur les tarifs appliqués par Orange, SFR décide d’augmenter le prix de gros de sa fibre facturé aux opérateurs en zone moyennement dense. De quoi faire grincer des dents ses rivaux.

Le torchon brûle entre l’opérateur au carré rouge et ses concurrents directs. La filiale d’Altice a en effet pris la décision de revoir à la hausse les prix de gros facturés aux autres opérateurs pour se raccorder à son propre réseau FTTH en zone AMII, dans exactement 641 communes, soit 2,5 millions de locaux.

La hausse serait conséquente et pour le moins irritante selon un acteur du marché, rapporte Les Echos. Par exemple, si Free souhaite obtenir une tranche de 5 % des logements dans une zone concernée et fibrée par SFR, il devra désormais payer 5,90€ par ligne et par mois, soit une augmentation de 9%. De son côté, Orange demande 5,48€. Pire encore encore s’agissant de la location à la ligne. Déjà plus onéreux que l’opérateur historique et ses 13,20€ facturés, SFR aurait appliqué une hausse de 2% à son tarif, lequel grimpe à 16,73€.

De quoi faire grincer des dents Orange, Free et Bouygues, jugeant notamment ces tarifs délirant à l’heure où les tarifs de gros sont plutôt à la baisse. Le déploiement de la fibre étant de plus en plus conséquent, les coûts diminuent.

Selon le quotidien, l’Arcep est plutôt remonté et suit l’affaire, l’opérateur serait dans son viseur. Pour sa défense, SFR estime que la révision de ses tarifs de gros n’est seulement que de “quelques centimes”. Et d’ajouter que cette hausse lui permet de « tenir compte des coûts de maintenance plus importants, du fait notamment de dégradations ». Reste que la pilule est bien difficile à avaler pour les opérateurs qui pourraient saisir le régulateur pour arbitrer ce différend.

 

 

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Fibre optique : voici les objectifs de déploiement pour l’année 2020, le plus dur reste à faire

Après une année 2019 record en termes de déploiement de la fibre optique en France, 2020 s’annonce plus ardue. La moitié des 30,7 millions de prises attendues d’ici 2022 restent à déployer.

Si en 2019, la fédération InfraNum s’est réjoui de voir le secteur au rendez-vous du plan France THD, avec le déploiement record de 4,3 millions de prises FTTH, “2020 s’annonce autrement plus ardue, mais néanmoins décisive pour une filière en passe de devenir stratégique dans l’économie et le rayonnement français”, indique  aujourd’hui l’ex-Firip. Il donc faudra tenir le rythme. A ce jour, 18 millions de prises fibre sont déployées en France, soit plus de la moitié des 30,7 millions attendus d’ici 2022.

Si ce chiffre est conforme aux objectifs du plan gouvernemental, “la seconde moitié sera plus difficile à réaliser puisqu’elle concernera majoritairement les zones d’initiative publique (RIP)”, tempère toutefois la  fédération des industriels du THD.  En effet,reste encore à construire  80% des prises RIP soit près de 14 millions, chacune d’elles étant  “3 fois plus difficile à déployer qu’en zone dense ou AMII”.

L’objectif 2020 est aujourd’hui clairement énoncé : déployer 4,5 millions de prises dont 1,5 millions sur les réseaux d’initiative publique.

InfraNum rappelle en parallèle que 2020 doit également l’année du « bon débit pour tous ». Derrière cette volonté de l’Etat, l’objectif est d’offrir un débit correct en attendant le THD pour tous d’ici 2022, voire 2023. “Dans ce cadre, le mix technologique – THD radio, satellite – est un des gros enjeux de l’année car, avant d’atteindre le très haut débit, beaucoup de citoyens (dans une quarantaine de départements) pourraient même ne pas avoir de bon débit”, explique la fédération, mobilisée pour la réouverture du guichet THD radio. Selon elle, seule la mise en place, dès maintenant, de technologies alternatives garantira la satisfaction des administrés et le succès du plan France THD.

Pour rappel, après avoir réouvert le guichet THD à destination de 25 départements avec un reliquat de 140 millions d’euros, le gouvernement a signé fin octobre un ensemble de 10 décisions de financement en faveur de réseaux d’initiative publique, pour un montant global de 242 millions d’euros. Objectif, accélérer le déploiement en zones rurales.

 

Vous pouvez retrouver toute l’actualité sur la fibre optique en France sur notre site thématique dédié.

 

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L’Etat est en passe de lancer la “French Tech de la fibre optique” pour fédérer notamment les opérateurs

Remettre le savoir-faire français en matière d’infrastructures sur le devant de la scène à l’international, créer des collaborations entre les telcos dans un marché très concurrentiel, tel est l’objectif du gouvernement qui s’apprête à lancer un comité stratégique de filière.

Après les start-ups de la French tech, place à “la Franch Tech de la fibre optique”. Dans une optique de fédérer les opérateurs, équipementiers et fabricants de fibre optique sous une marque commune, l’Etat prévoit de lancer le 18 décembre prochain un comité stratégique de filière (CSF) composé de quatre fédérations et rassemblant entre 300 et 400 acteurs télécoms, révèle Les Echos. Selon les informations du quotidien, quatre grands axes ont été retenus, à savoir le lancement d’un réseau de plateformes d’expérimentation multi-sites sur la 5G, les nouveaux métiers de la fibre, les villes intelligentes et l’international. A l’étranger, l’Etat souhaite que les acteurs français s’unissent pour vendre davantage leur savoir-faire et se différencier des Gafa mais aussi des géants chinois de plus en plus présents sur le marché européen.

 

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Les offres fibre de Free pointent le bout de leur nez dans un nouveau RIP

Après avoir débuté les raccordements en Haute-Garonne sur le réseau fibre 31 la semaine dernière, Free continue de lancer ses offres fibres sur les RIP, cette fois dans l’Agglomération de Pau Béarn Pyrénées.

De premières Freebox sont éligibles au FTTH sur le réseau d’initiative publique LaFibre Paloise, lequel est opéré par Axione avec qui Free a signé un accord cadre en juin 2017. Selon les constatations de Busyspider, des adresses sont concernées dans les villes de Lescar, Lons, dans le département des Pyrénées-Atlantiques. Il s’agit pour le moment de pré-ouvertures, l’arrivée de la fibre de Free sera fera progressivement sur tout le réseau.

La Fibre Paloise est la société en charge d’exécuter la politique publique d’aménagement du territoire en très haut débit décidée par les élus de la Communauté d’Agglomération Pau Béarn Pyrénées. Son objectif, une couverture de 100% d’ici la fin de l’année, soit 90 500 prises. 

 

Retrouvez toutes les informations sur la fibre de Free dans ce thémasite dédié.

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Les livraisons de câbles à fibre optique chutent de 20% au troisième trimestre en France, la filière s’inquiète

A l’heure où le besoin en fibre optique augmente en France avec un pic annuel de 23 millions de km de 2019 à 2022, l’indicateur industriel de déploiement du Très Haut Débit du SYCABEL enregistre au 3ème trimestre de 2019, une baisse de l’ordre de 20 % des livraisons de câbles à fibre optique. Une première de puis 2011.

Ce brutal ralentissement “soulève les inquiétudes de la filière “tant au niveau de la gestion industrielle que de la pérennité des investissements réalisés en France dans le secteur”, révèle le syndicat professionnel regroupant dans l’hexagone la quasi-totalité des fabricants de fibres optiques ( Nexans, Acome etc)..  Pourtant, environ 17 millions de km de câbles en fibre optique ont été commercialisés en France en 2018, en hausse de 32% par rapport à l’année précédente, la filière était alors portée par l’accélération du Plan France Très haut débit. 

Pour le SYCABEL, la raison du bloquage constaté au troisième trimestre au niveau des livraisons, est on ne peut plus claire : la concurrence chinoise et sud-coréenne ont provoqué une explosion des importations, lesquelles représentent actuellement “45% de la production de câbles à fibre optique du Sycabel, alors qu’il était de 13% en 2017 et 23% en 2018 “, fait savoir la direction du syndicat dans les lignes de La Tribune.

En 2018, le marché mondial de fibre a été évalué à 500 Millions de km. “La Chine, à elle seule, représente 60% de cette demande. Au premier trimestre 2018, China Mobile a consommé à elle seule 120 millions de km de fibre. A ce niveau on ne peut pas parler de pénurie mais de tension au niveau de la fabrication. Il y a donc des pays, voire des continents, qui absorbent à eux seuls la production des câbliers”, nous avait indiqué l’année dernière, Alain Brun, directeur de la technologie pour l’Europe de l’équipementier coréen DASAN Network dont la filiale française importe des câbles de fibre optique pour les RIP. “La Chine a pour elle-même un besoin annuel dépassant largement sa production. Elle s’approvisionne donc sur le marché international (notamment en Corée) et revend à l’export à un prix dérisoire une part de sa production dégradée (Généralement vers l’Afrique dans le cadre de marchés globaux). C’est un vrai risque qualitatif”. Avait-il ajouté.

Du côté de certains fabricants français, c’est une période noire. Chez Acome, la production a été divisée par deux. De manière générale, la filière doute aujourd’hui de la qualité des câbles de fibre optique provenant de certains pays étrangers dont le cahier des charges est moins stricte qu’en France avec pour risque à terme, un réseau FTTH de moins bonne facture dans certains territoires français, moins performants et davantage assujettis aux pannes. Le SYCABEL demande la mise en place d’un dispositif de contrôle.

 

Source : La Tribune

 

 

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Orange veut améliorer la complétude de ses réseaux fibre en zone AMII et obtient un prêt de 700 millions d’euros

Orange a annoncé hier avoir signé un prêt de 700 millions d’euros avec la Banque européenne d’investissement pour financer une partie du déploiement du réseau FTTH en France dans les zones « d’Appel à manifestation d’intentions d’investissements » (AMII).

“Ce financement portera sur l’ensemble des investissements réalisés sur le territoire français. Il permettra de financer en partie la complétude du déploiement des réseaux Orange de la zone AMII”, a précisé l’opérateur historique. Un premier tirage de 350 millions d’euros a dores et déjà eu lieu, le complément du prêt sera mis à disposition dans le courant du premier trimestre 2020.

À la fin du troisième trimestre 2019, environ 60 % des locaux des communes en zone moyennement dense sur lesquelles Orange s’est engagé et 56 % pour SFR, ont été rendus raccordables. Pour atteindre leurs objectifs, L’Arcep a appelé encore une fois les opérateurs à intensifier encore le rythme de ces déploiements. Dans ces zones, Free co-investit avec les deux opérateurs en charge du déploiement.

Pour rappel, en février dernier, l’Arcep a mis en demeure l’opérateur historique sur le déploiement de la fibre en zone AMII. Sébastien Soriano, président de l’Autorité avait alors confié : “Orange n’a pas tenu le délai de deux à cinq ans pour fibrer certaines des zones les plus anciennes”, eu égard à ses engagements de déploiement de la fibre dans les villes moyennes. Le FAI se doit depuis de respecter l’obligation de complétude au plus tard le 31 décembre 2019 pour une liste de 460 points de mutualisation, soit 66 000 locaux à raccorder. Orange devra justifier au plus tard le 31 janvier 2020 du respect de l’obligation de complétude sur ces 460 points de mutualisation de plus de cinq ans et affichant 20% ou plus de lignes non raccordables, ou à défaut expliquer les difficultés avérées

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La fibre de Free arrive dans un nouveau RIP

L’opérateur de Xavier Niel annonce le début de l’arrivée de ses offres fibre aujourd’hui en Haute Garonne. Free commence ses raccordements sur le réseau de Fibre 31.

De premières adresses sont éligibles aux offres FTTH de Free, notamment dans la commune de Seysses. A noter que Altitude Infrastructure avec qui l’opérateur a signé un contrat cadre, assure la conception, le financement, la construction, la commercialisation, l’exploitation et la maintenance du réseau à Très Haut Débit (fibre optique) sur l’intégralité du territoire de la Haute-Garonne, soit pour près de 280 000 foyers, établissements publics et entreprises. Altitude a signé en 2018 une DSP (délégation de service publique) relative au réseau d’initiative publique avec du Syndicat Mixte Haute-Garonne Numérique. Free continue de lancer progressivement sur les RIP avec pour objectif d’être présent sur chacun d’entre eux.

 

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Orange se prépare officiellement à céder partiellement ses réseaux fibre et mobiles en “en gardant le contrôle”

Orange veut mieux valoriser ses infrastructures FTTH et mobiles, mais sans jamais en perdre le contrôle. Voici ses plans, entre cessions partielles et opportunités de consolidation.

Les déclarations du PDG d’Orange se concrétisent. “l’appétit actuel des fonds d’infrastructure révèle bien la valeur intrinsèque des réseaux télécoms”, a lancé en mai dernier Stéphane Richard. Et d’ajouter que l’opérateur doit de se poser la question de “la maximisation de la valeur” de ses infrastructures.

Développer et mieux valoriser ses infrastructures, est aujourd’hui une ambition forte affichée par Orange dans son nouveau plan stratégique “Engage2025” présenté ce matin. L’opérateur historique veut “réinventer son modèle” et pose les premières pierres de la cession partielle de certains réseaux en France et ailleurs en Europe, “tout en en gardant le contrôle”.

“Pour ses infrastructures FTTH, Orange continuera d’investir en propre, pour tenir ses engagements en zone moyennement dense (AMII) en France . En revanche, dans certaines zones Orange pourra en fonction des opportunité s’associer à des partenaires. “C’est l’objectif du projet de création dès 2020 d’une filiale en France, Orange Concessions, qui regroupera les 4 millions de prises des Réseaux d’Initiative Publique (RIP) appartenant aux collectivités locales et dont Orange est concessionnaire”, précise le nouveau plan stratégique du groupe à l’horizon 2025. Autrement dit, ces 4 millions de prises seront partiellement cédées.

Cette filialisation pourrait permettre à l’opérateur historique “de saisir les opportunités potentielles de développement ou de consolidation sur ce marché”. Orange ne le cache donc plus et pourrait emboîter le pas à SFR dont rachat du quatrième opérateur d’infrastructure français Covage, sera acté dans les prochains mois.

Sur les infrastructures mobiles, notamment en 5G, Orange annonce vouloir “s’appuyer sur des accords de RAN-sharing, tout en maintenant des zones de différenciation”. En parallèle, l’opérateur souhaite valoriser davantage les 40 000 tours de son réseau mobile en propre en Europe. Pour ce faire, Orange va créer, “dans la plupart de ses pays européens, des TowerCos, c’est-à-dire des entités dédiées à la gestion des tours”, dont il gardera le contrôle dans tous les pays européens où elles verront le jour. Cela commencera par la France et l’Espagne en 2020.

Cette nouvelle logique industrielle permettant l’accélération des déploiements de ses réseaux notamment 5G mais aussi la démultiplication de ses capacités d’investissements, vient confirmer des informations récentes du Financial Times. Selon le quotidien britannique, Orange compte emboîter le pas à Bouygues Telecom, SFR et plus récemment Free en préparant actuellement la scission de ses pylônes en France, via la création d’une structure séparée, une opération qui pourrait faire grimper de 10 milliards d’euros sa valorisation. C’est donc le cas.

Cette nouvelle approche prend forme dès aujourd’hui puisque Orange a annoncé ce matin la cession de 1 500 sites non stratégiques en Espagne à Cellnex pour 260 M€, l’hexagone va ainsi suivre.

 

 

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Fibre : le point sur les lignes raccordables des différents opérateurs d’infrastructure

Dans son dernier bilan du déploiement FttH pour le 3ème trimestre, l’Arcep a notamment fait un focus sur les réseaux d’initiative publique. Côté opérateurs d’infrastructure, Axione accélère et mène la danse.

Le déploiement de la fibre monte en puissance en France mais “doit encore s’accélérer” selon le régulateur. Au troisième trimestre, 1,16 million de foyers ont été rendus raccordables, un nouveau record pour un total de 16,7 millions de locaux éligibles aux offres FttH fin septembre.

Si la majorité de la croissance se fait toujours dans la zone dite « AMII », le rythme des déploiements  dans la zone d’initiative publique “est à nouveau en progression marquée ce trimestre, avec 350 000 locaux rendus éligibles”, révèle l’Arcep. Mieux encore, le taux de mutualisation  poursuit sa nette augmentation “en dépassant pour la première fois le seuil des 50%”, bien qu’en retrait en retrait de celui des zones d’initiative privée, supérieur à 90 %.

Au total, 2,9 millions de lignes sont désormais raccordables en zone peu dense, le pallier des 3 millions devrait être franchi d’ici la fin de l’année. Autre bonne nouvelle, Orange, Free, SFR et Bouygues sont tous présents sur 18% des lignes dans les RIP, soit environ 500 000, un chiffre en nette évolution puisque le taux atteignait seulement 6% au deuxième trimestre.

En matière de déploiement par opérateur d’infrastructure pour le troisième trimestre, Axione, filiale de Bouygues fait cavalier seul et cartonne avec 102 000 nouvelles lignes raccordables. Altitude se classe second sur le trimestre (+67000), derrière suivent Orange (+61 000) et Covage dont le rachat par SFR devrait être acté au premier semestre 2020 (+47 000), l’opérateur ralentit toutefois légèrement. SFR Collectivité est en embuscade (+46 000). Ferment la marche TDF Fibre (+12 000) et d’autres réseaux d’initiative publique.

Au global fin septembre 2019, Axione conserve facilement son leadership et creuse l’écart avec 745 000 lignes raccordables au total sur le territoire. En seconde position, se classe Orange (463 000), l’opérateur historique devance de peu SFR Collectivités (508 000) suivi de Covage pour le moment tranquillement installé à la 4e place (463 000). Derrière, Altitude poursuit son bonhomme de chemin avec 382 000 lignes raccordables. Enfin, TDF se classe dernier (57 000) mais le nouvel opérateur d’infrastructure FTTH exploite significativement moins de RIP que ses rivaux.

 

 

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