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Des militants contre le “techno-monde” s’attaquent violemment à la fibre optique

Dans un combat contre la technologie, un groupe de militants s’en est pris avec violence à une entreprise spécialisée dans la fibre optique. Deux sites ont été incendiés.

Revendiquant deux incendies ayant eu lieu dans la nuit du 17 au 18 février et celle du 19 au 20 février dans le département de l’Isère, un groupe de militants parle d’une “guerre au système techno-industriel”. Les actes criminels en question ont ciblé Constructel, une entreprise spécialisée dans l’installation de la fibre optique. Le premier incendie s’est déroulé sur la commune de Brézins. Il a touché quatre véhicules et des rouleaux de fibre optique. Le second a eu lieu à Sassenage. Il a endommagé un véhicule nacelle, des stocks de câbles et une antenne-relais. Samedi, le procureur de la République de Grenoble a annoncé une enquête commune confiée à la gendarmerie.

L’ultra-gauche libertaire face au “techno-monde”, face à l'”enfer technologique”

Les deux incendies ont plus précisément été revendiqués mardi au travers du site Indymedia, proche de l’ultra-gauche libertaire et déjà utilisé pour revendiquer d’autres actes du même acabit dans la région. Les auteurs disent combattre le progrès technologique et ses répercussions négatives sur le vivant. “Si, pour nous, s’en prendre à des installateurs, des réparateurs ou des fournisseurs de câbles fait sens, ce n’est pas pour protester contre la 5G en particulier, mais bien dans un cadre plus large, de combat contre le techno-monde”, explique le texte anonyme. “Nous ne pouvons pas rester spectateurs face à cette méga-machine qui s’étend partout en pillant, détruisant, mesurant et contrôlant tout ce qui vit”, peut-on également lire.  “Nous voulons saluer tous les incendiaires qui agissent dans l’ombre en ce moment et portent des coups répétés à cet enfer technologique”, se félicitent les militants.

Source : AFP

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Fibre optique : 60 millions de consommateurs dénonce un “grand bazar”

Pour 60 millions de consommateurs, il est grand temps pour les opérateurs télécoms de s’emparer des problèmes de raccordement à la fibre optique. L’association dénonce un “grand bazar” qui risque de refroidir les Français.

“Fibre optique : le grand bazar des raccordements”, titre 60 millions de consommateurs. L’association dénonce un ambitieux chantier qui avance bel et bien, mais en traînant derrière lui un grand nombre de problèmes dont pâtissent finalement les consommateurs. Elle pointe du doigt un “objectif quantitatif”, à savoir 80 % de Français éligibles à la fibre optique d’ici fin 2022 et 100 % d’ici fin 2025, à cause duquel “la qualité des interventions n’est pas toujours au rendez-vous”.

60 millions de consommateurs note une “hausse notable” des plaintes à propos de difficultés à se faire raccorder à la fibre. “Les échecs de raccordement sont très importants. Ils atteignent jusqu’à 40 % dans certaines communes, alors que les opérateurs annoncent qu’elles sont raccordables à 100 %”, précise Ariel Turpin, délégué général de l’Avicca, pour qui un véritable défi se présente aux opérateurs.

Débranchements sauvages, plats de nouilles...

Parmi les raisons données à ce raccordement compliqué pour les Français : les fichiers de déploiements erronés, les installations sous-dimensionnées, les débranchements sauvages, le travail “à l’arrache” au niveau des armoires de rue se traduisant par les fameux “plats de nouille” (câbles emmêlés) ou encore le travail malfait chez les abonnés (prise mal fixée, fils apparents, etc.).

Sont également pointées du doigt d’autres situations. “Chez Anne-Laure, l’installation de la fibre par Free a provoqué une panne de l’éclairage extérieur. Elle déplore auprès de 60 Millions le silence radio du fournisseur malgré ses relances depuis… huit mois”, donne comme exemple l’association. “Le technicien peut aussi désinstaller l’ancienne ligne ADSL, ne pas arriver à activer la fibre et laisser les clients sans aucun service”, dénonce de son côté Valérie Alvarez, la médiatrice des communications électroniques. À cela s’ajoute la surprise concernant des travaux aux frais des utilisateurs. “D’autres découvrent qu’ils doivent engager des travaux à leurs frais, comme Christian à qui SFR, faute de pouvoir relier sa maison par voie aérienne, demande de creuser une tranchée dans son jardin jusqu’à la gaine de sa rue, une intervention qui lui coûterait 1 000 euros”, souligne 60 millions de consommateurs.

Sébastien Soriano, l’ancien président de l’Arcep, et Cédric O, secrétaire d’État au numérique, avaient déjà souligné la situation. Le premier n’avait pas hésité à parler de “travail de cochons” et le second d’un gâchis. Début décembre 2020, la filière fibre optique avait de son côté annoncé le lancement d’un guide opérationnel s’adressant aux professionnels du secteur.

Source : 60 millions de consommateurs

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Fibre optique : redécouvrez les débuts de la fibre optique

Utilisée dans le domaine des télécommunications, la fibre optique ne date pas d’aujourd’hui. Elle est le fruit de travaux remontant à plusieurs décennies. Retour sur les prémices de cette technologie qui a bousculé tout un secteur.

La fibre optique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, notamment celles des opérateurs. La création de la première fibre optique utilisable dans le domaine des télécommunications remonte à 1970, grâce aux travaux de la société américaine Corning, à laquelle on doit également le verre Gorilla Glass protégeant les écrans de nombreux smartphones. Les chercheurs de la firme avaient alors réussi à améliorer la pureté du verre pour réduire grandement l’atténuation du signal.

Au travers une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Radio-Canada Info nous propose un bond de 50 ans en arrière pour découvrir les prémices de la technologie depuis les travaux de Charles Kao. Quelques années avant l’exploit des chercheurs de Corning, cet ingénieur-physicien avait posé les bases des télécommunications via la fibre optique. Il est considéré comme le père des communications dans la fibre optique” et a reçu le prix Nobel de Physique en 2009 pour ses travaux sur la transmission de la lumière dans la fibre optique.

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Fibre optique : gare aux démarchages frauduleux, alerte le gestionnaire d’un RIP

La fibre optique est disponible, et les escrocs pas très loin.

Alors que le déploiement de la fibre optique touche à sa fin dans plusieurs secteurs du Lauragais, près de Toulouse, dans le sud-ouest de la France, des escrocs ont visiblement décidé d’avoir leur part de gâteau.

Ils sont en effet venus frapper à la porte des habitants dans au moins deux communes du canton d’Escalquens, en se faisant passer pour des agents démarchant pour le compte du syndicat mixte Haute-Garonne Numérique. Ce dernier gère pour rappel le RIP (réseau d’initiative publique) Fibre 31, sur lequel sont d’ailleurs disponibles les offres FTTH de Free. L’objectif de ces démarchages est d’accéder à l’ordinateur de la maison ou de récolter quelques données personnelles.

Annie Vieu, présidente de Haute-Garonne Numérique, a en tout cas décidé d’envoyer un courrier aux élus du secteur pour inviter les riverains à la plus grande vigilance. “Deux communes du canton d’Escalquens nous ont signalé que des personnes se réclamant de Haute-Garonne Numérique, syndicat mixte chargé du déploiement de la fibre optique en Haute-Garonne, et de son délégataire Fibre 31 se sont présentés chez des particuliers pour des vérifications à l’intérieur du domicile avant l’installation de la fibre optique. Je souhaite vous rappeler que les seuls techniciens habilités à rentrer chez un particulier sont ceux missionnés par un fournisseur d’accès après une démarche d’abonnement. Ni Haute-Garonne Numérique, ni Fibre 31 ne mandatent ce type d’interventions. Ces sollicitations constituent du démarchage abusif et /ou frauduleux”, alerte-t-elle.

Source : Actu.fr

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Réseau cuivre d’Orange : dix propositions sur la table, l’Etat annoncera un plan d’action début mars 2021

A la suite d’une mission flash commandée par le secrétaire d’Etat au Numérique, plusieurs propositions ont émergé pour mieux évaluer la qualité du réseau cuivre d’Orange. 

Ce mercredi 10 février, la députée LREM Célia de Lavergne a présenté ses propositions issues de sa mission flash lancée en janvier dernier. Le but était de “préciser le diagnostic des dysfonctionnements et faire des propositions au gouvernement”, c’est désormais chose faite.

La députée présente ainsi dix propositions, notamment l’instauration de “nouveaux indicateurs” permettant de mieux rendre compte de la qualité du “service universel” du téléphone fixe. D’autres mesures sont également recommandées, comme une “obligation de réparation assortie de pénalités financières et de sanctions effectives“, ou encore la mise en place d’un “appel d’offre” visant à désigner un prestataire pour une durée minimale de cinq ans.

Le Gouvernement annoncera un plan d’action début mars

Cédric O, secrétaire d’État au numérique ayant initié la mission en question, a indiqué que le “plan d’action” du gouvernement serait annoncé la “première quinzaine du mois de mars“. La présidente de l’Arcep a également indiqué étudier ces propositions “avec beaucoup d’attention” dans une conférence de pesse conjointe.

Des mesures directement dirigées vers Orange, puisque c’est à lui que revient la mission de s’occuper du maintien du réseau cuivre vieillissant avant son extinction prévue pour 2030. L’opérateur historique réclame pour sa part une augmentation des tarifs de location de ligne de trois euros supplémentaires pour chaque opérateur, afin d’assurer un “réseau cuivre doit être opérationnel partout, à 100 %, avec des délais de réparation très courts sur l’ensemble du territoire”. 

Une proposition qui avait d’ailleurs entrainé une vive réaction de Xavier Niel. En effet, le patron de Free n’entend pas régler la note d’Orange qu’il impute notamment à un problème de management chez son concurrent.

Source : AFP

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Free officialise le lancement de ses offres fibre sur un nouveau RIP de Covage

Après le RIP Ardèche Drôme Numérique la semaine dernière, Free débarque officiellement sur  le réseau d’initiative SIVU (Communauté urbaine de Dunkerque).

Dès aujourd’hui, les habitants de la Communauté urbaine de Dunkerque peuvent tester leur éligibilité et souscrire à la Fibre Free. L’opérateur de Xavier Niel annonce ce matin y étendre sa présence “avec un déploiement renforcé sur le Réseau d’Initiative Publique SIVU exploité par l’opérateur d’infrastructure Fibre Covage”.

Free est d’ores et déjà présent sur 100% de la zone actuellement déployée par le réseau public SIVU.  La commercialisation commencée il y a quelques semaines, concerne aujourd’hui la totalité des 26 000 logements répartis sur 4 des communes de la communauté urbaine de Dunkerque : Coudekerque-Branche, Saint-Pol-sur-Mer, Cappelle-laGrande et Fort-Mardyck. Le FAI annonce par ailleurs commercialiser plus de 90 000 logements sur l’agglomération de Dunkerque.

Au total plus d’un million de logements le sont également sur le département du Nord, grâce à la présence de l’opérateur en zone RIP mais aussi en zone AMII et en Zone Très Dense (ZTD) sur les agglomérations de Lille, Valenciennes, Douai et Cambrai.

Le réseau SIVU fait partie de l’accord signé en 2019 entre Free et Covage permettant à l’opérateur de proposer son offre de Fibre optique sur les Réseaux d’Initiative Publique dans les territoires couverts par l’opérateur d’infrastructure parmi lesquels le Calvados, l’Hérault, la Haute-Savoie, la Seine-et-Marne, la Somme et les réseaux initiés par les agglomérations de Dunkerque, Sénart, Paris-Saclay, Métropole Européenne de Lille, Essonne Numérique, soit près de 1,4 million de prises Fibre d’ici 2023.

Pour rappel, Free est aujourd’hui présent sur une trentaine de RIP. L’opérateur a d’ores et déjà annoncé un lancement de ses offres courant 2021 sur le réseau Megalis Bretagne et du SIEA dans l’Ain.

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Fibre optique : Orange commence à sécuriser ses armoires de rue grâce au NFC

Orange prend des mesures pour sécuriser davantage ses armoires de rue face aux dégradations. L’opérateur historique a en effet opté pour le déverrouillage grâce au NFC.

Les armoires de rue sont sujettes à des actes de vandalisme, que ce soit pour du vol de fibre optique ou de la simple dégradation. Voilà pourquoi Orange a décidé de les sécuriser davantage afin d’éviter des pannes de connexion aux abonnés.

D’après les constatations du site LaFibre.info, l’opérateur historique commence en effet à équiper les armoires de rue d’un verrou à commande par NFC (Near Field Communication). Il s’agit pour rappel de la technologie utilisée pour le paiement sans contact avec la carte bancaire ou le smartphone.

Ainsi, le technicien effectuant une intervention sur une armoire de rue doit avoir un smartphone compatible NFC et une application adéquate installée dessus. Il ne lui reste qu’à approcher son mobile en étant connecté au sein de l’application pour accéder à l’intérieur de l’équipement. Un bon moyen de savoir qui a accédé à l’équipement et quand. Dans le cas d’une ouverture forcée, un détecteur d’ouverture de portes permet de donner l’alerte rapidement.

Source : LaFibre.info

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Une fois la France totalement fibrée, que vont devenir ses nombreux soldats ?

La filière fibre optique continue de cravacher pour raccorder tout le pays dans les temps. Mais son regard se porte aussi à l’international pour vendre le savoir-faire à la française une fois le vaste chantier terminé.

Ils sont 21 000 à être au charbon pour fibrer la France à tour de bras et permettre une disponibilité pour 100 % de la population à l’horizon 2025. Mais après, une fois ce grand chantier terminé ? C’est la question que l’on peut naturellement se poser. À ce sujet, Étienne Dugas, président d’InfraNum, fédération regroupant les acteurs de la filière haut débit, ne tourne pas autour du pot : “À la fin, il y aura de la casse sociale, dire le contraire serait mentir”.

L’heure est donc à la réflexion pour trouver une solution de reclassement. La maintenance et le raccordement des foyers ne suffiront en effet pas. “Il faut donc trouver des débouchés hors de France si on veut éviter un choc brutal”, explique Stéphane Lelux, président fondateur du cabinet de conseil Tactis. Les regards se tournent en effet vers les pays voisins tels que le Royaume-Uni et l’Allemagne où la fibre optique est moins déployée et auxquels il serait possible de vendre le savoir-faire à la française. “Le Royaume-Uni, c’est la France de 2012. Il y a une vraie frénésie. Les règles sont assez claires, le régulateur est plutôt en retrait, et les opérateurs télécoms ont de l’appétit”, souligne un industriel. “Il y a du boulot pour quinze ans en Allemagne. Dans les deux prochaines années, le pays va connaître un gros coup d’accélérateur, comme en France en 2014”, indique Jacques de Heere, le président d’Acome, société normande fabriquant de la fibre optique et en fournissant déjà à Deutsche Telekom.

Mais pour y faire quoi ? “L’idée n’est pas de demander à des salariés français d’aller creuser des trous”, précise Stéphane Lelux. Au-delà de la matière première, il s’agit en effet de vendre les compétences en matière de conception, d’exploitation et de maintenance. “C’est là qu’est le coeur de la valeur ajoutée”, indique-t-il.

Les initiatives soutenues

En juillet 2020, la fédération InfraNum avait présenté un plan de financement à 11 milliards d’euros pour relancer la filière. Il s’agissait par ailleurs de soutenir l’export des produits français hors Europe (Afrique, Francophonie), mais aussi du savoir-faire en matière d’infrastructures numériques et de solutions pour une “ville durable connectée à la française”. Plus concrètement, Infranum souhaitait mobiliser des financements nationaux et européens pour permettre aux industriels de monter des projets clé en main en matière d’infrastructures numériques (fibre, radio, datacenter).

Source : Les Echos

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Free officialise son arrivée sur un nouveau réseau

Free lancera ses offres fibre sur l’intégralité du réseau d’Initiative Publique ADN (Ardèche Drôme Numérique) d’ici trois mois.

Et un de plus, mois après mois l’opérateur de Xavier Niel renforce sa présence sur le territoire, en particulier sur les réseaux d’initiative publique. Après le lancement de ses offres sur celui de Gers Numérique et d’Octogone fibre dans le Tarn-et-Garonne, Free annonce ce matin sa présence d’ici 3 mois sur 100% de la zone actuellement déployée par le réseau public Ardèche Drôme Numérique. La totalité des 23 000 logements déjà déployés pourra alors souscrire aux offres Fibre Free. La commercialisation commencée il y a plusieurs mois, concerne aujourd’hui plus de 17 000 logements répartis sur une trentaine de communes dont Saint Etienne de Fontbellon, Sarras, Ucel, Saint Sernin en Ardèche et Chatuzange le Goubet, Beausemblant, Saint Vallier, Beauvallon et Montéléger dans la Drôme. 

“Free commercialise déjà plus de 120 000 logements sur ces deux départements grâce à sa présence en zone RIP mais aussi en zone AMII sur une partie des agglomérations de Valence, Montélimar, Romans sur Isère, Annonay et les communes de Privas et Guilherand Granges”, informe un communiqué. 

Pour rappel, Free est aujourd’hui présent sur une trentaine de RIP. L’opérateur a dores et déjà annoncé un lancement de ses offres courant 2021 sur le réseau Megalis Bretagne et du SIEA dans l’Ain.

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Avec Terralpha, la SNCF veut proposer des capacités fibre optique aux opérateurs

En période de crise sanitaire se traduisant par une importante baisse du nombre de voyageurs et donc de ses revenus, la SNFC compte en générer de nouveaux dans le secteur des télécoms.

Terralpha, c’est le nom de la nouvelle filiale de la SNCF. Validée par le conseil d’administration du 16 décembre 2020 et dotée d’une capacité de départ de 6 millions d’euros, celle-ci a pour objectif d’“assurer des services de communications électroniques”, mais également “d’établir, de développer et d’exploiter tous réseaux de communications électroniques nécessaires à la fourniture de ces services”.

La filiale a donc pour but de chapeauter les services de communication et d’hébergement de données du groupe français, mais pas seulement. La SNCF compte utiliser le maillage de son réseau de chemins de fer pour accompagner les opérateurs dans la densification de leur réseau fibre optique, ou encore dans le déploiement de la 5G dont les antennes sont connectées en fibre optique. Des capacités “prêtes à l’emploi” pouvant être proposées à d’autres acteurs dans l’hébergement de données ou dans l’industrie.

Un positionnement qui a en tout cas du sens à l’heure où le gouvernement pousse le déploiement de la fibre optique, avec pour objectif de couvrir 100 % de la population à l’horizon 2025. Elle s’explique aussi par la nécessité de trouver de nouveaux revenus, avec une crise sanitaire ayant des répercussions sur les flux de voyageurs (baisse de 42 % en 2020) et les revenus du groupe.

Sources : BMFTV et L’Express

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